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    Saison 3 / Episode 1

    "I want you to have everything in the world, including the hottest sex. I just don't want to hear about it."
    "Je tous souhaite d'avoir ce qu'il y a de meilleur au monde, même le sexe. Je veux juste ne pas en entendre parler."
    (Michael à Emmett)

    Diffusion US : 2 mars 2003 sur Showtime
    Diffusion France : 30 avril 2005 sur PinkTV
    Réalisation : Jeremy Podeswa // 45 mn

    One, Two, Three, Four
    One, Two, Three, Four
    One, Two, Three, Four
    Five, Six, Shake It Dude !

    Et nous revoilà reparti pour une nouvelle saison.

    Après une rapide séquence en noir et blanc nous permettant de comprendre le but de l'épisode (mais pourquoi Brian a-t-il frappé Michael ?), un flash-back nous ramène là où nous avions quitté la série la saison précédente, c'est-à-dire à la soirée de lancement du comic Rage au Babylon.

    Donc, reprenons : Justin vient (enfin !) de quitter Brian pour commencer une vraie relation avec Ethan, Ben décide de ne plus partir au Tibet, Ted et Emmett sortent ensemble...

    C'est bon, vous suivez ? C'est parti pour la saison 3.

    A l'extérieur du Babylon, Brian, visiblement plus vexé par cette rupture qu'il aurait voulu l'être, monte dans sa Jeep et part...

    Au petit matin, Justin se réveille, pour la première fois, chez Ethan. Et celui-ci lui joue une petite aubade au violon... C'est ti pas mignon ? Justin doit aller en cours et récupérer ses affaires chez Brian, mais Ethan réussi à le garder au lit un peu plus longtemps (pour un scrabble, bien sûr...).

    Au magasin de BD, Mike tente, en vain, de joindre Brian. Aux clients qui lui demandent à quand Rage #2 sortira, il répond que l'aventure s'arrête ici.

    Justin arrive chez Brian pour récupérer ses affaires. Le propriétaire des lieux n'est pas dans les murs. Des souvenirs lui reviennent en tête : il se revoit faire l'amour dans le fauteuil, sous la douche, dans le lit. Et à part ça, petit, t'as d'autres souvenirs que le cul ? Apparemment, non.

    Au Dinner, les lesbiennes font leurs curieuses : elles veulent savoir comment s'est passé la nuit de Ted et Emmett, comment s'est fait la distribution des rôles actif/passif, etc... Les deux hommes n'ont pas encore concrétisé leur union mais ne disent rien.

    C'est bientôt l'anniversaire de rencontre de Lindsay et Mel. Huit ans déjà. Elles ont prévu une petite sauterie mais sont face à un dilemme : un carton d'invitation commun est prévu pour Brian et Justin.
    Brian entre, bientôt suivi de Justin. Un regard furtif, mais pas de bonjour.

    A l'extérieur, Justin vide les poubelles. Mike sort et lui reproche de ne pas avoir su comprendre dès le début que Brian ne cherchait pas une relation de couple. Justin, lui, lui reproche de ne pas avoir voulu l'intégrer, et ce dès le premier jour.
    Mike lui dit qu'il n'a aucune raison d'être ici (heu... c'est son lieu de travail quand même), il lui demande de disparaître.

    Plus tard, chez Mike et Emmett. Ben ne peut pas récupérer l'appart qu'il avait sous-loué dans l'optique de son voyage au Tibet. Il doit donc en rechercher un nouveau. Michael lui propose de rester et d'emménager avec lui. Ben hésite, mais fini par accepter.

    Emmett arrive, il est moyennement enthousiasmé par la nouvelle (l'appart est un peu petit pour trois), mais n'émet aucune objection. Mike lui dit qu'il a du mal à l'imaginer avec Ted, mais veut son bonheur.

    Brian rentre chez lui. Il s'aperçoit que Justin est venu récupérer ses affaires. Un dessin de Rage traîne encore dans la pièce. Brian le prend, et le froisse (bon, la dernière fois il avait pissé dessus, y'a quand même une amélioration dans son comportement).


    Dans le parc, Brian et Lindsay promènent Gus. Lindsay lui fait comprendre qu'il est normal que Justin soit parti, mais qu'il n'est pas trop tard pour le récupérer.

    Le soir, Debbie se plaint de l'attitude de Justin : celui-ci a démissionné, sans même la prévenir. Mike lui, est content, il lui raconte la discution près des poubelles. Debbie est hors d'elle : il n'a pas à faire sa propre justice.

    Chez les lesbiennes. Justin arrive, mais doit repartir aussitôt : Ethan l'attend. Elles l'invitent à la fête, mais Justin refuse : elles sont les amies de Brian. Elles insistent : il est leur ami, et certainement plus que Brian. Et Ethan est invité aussi.

    Au Woody, Brian remarque un type mais hésite à l'accoster. Et bien sûr, il se le fait rafler sous le nez. Plus loin, deux mecs sont heureux de la situation : Brian Kinney a perdu son pouvoir !
    Debbie et Vic viennent féliciter Emmett et Ted. Mais elle leur raconte l'histoire de Vic et Carlos : ils étaient les meilleurs amis du monde, ils sont sortis ensemble, mais Carlos est parti au bout de trois mois et a disparu. Le nouveau couple est plutôt mal à l'aise.

    Ca y est, Ben emménage. Et pour fêter ça, une petite séance de sexe d'impose. Mais à peine torses-nus, les deux hommes sont dérangés par Brian (faut pas lui donner les clefs à celui-là !) : il veut aller au Babylon, mais pas seul !

    Ambiance sensuelle chez Ted... Enfin si on veut : une boule à facette au-dessus du lit et une dizaine de godes alignés sur la table, on a connu plus sexy. Ted se positionne sur le lit, en slip. Emmett entre, il est nerveux. Il demande à Ted de se retourner pendant qu'il se déshabille (alors qu'il l'a déjà vu se branler des centaines de fois sur son site).

    Deux vraies pucelles dans un lit... Debbie les a fait douter avec l'histoire de Carlos : et si ça ne marche pas, pourront-ils rester amis ? Ted ne répond pas. Emmett se rhabille.

    Au Babylon, Michael veut rentrer retrouver Ben. Brian le retient. Il le drague presque. Et l'embrasse...

    La fête des lesbiennes se déroule à merveille. Justin et Ethan arrivent (au grand dam de Michael). Brian n'est pas encore là. En fait, il est au Woody, à côté d'un couple de tapettes en cuir qui se disputent pour de la vaisselle. Brian leur propose de l'accompagner : il connaît deux filles qui pourront les conseiller.

    Justin passe devant Debbie, sans lui dire bonjour. Celle-ci décide de mettre les choses au point : Michael n'avait pas à se comporter de la sorte, et Justin a intérêt à revenir travailler.

    Dans le jardin, Brian arrive (avec les deux en cuir). Il va aux toilettes, où Justin est déjà, et décide de faire dans l'économie d'eau : on peut bien uriner à deux en même temps dans une cuvette.

    Dans le jardin, Mike vient voir Brian et recommence à sortir des saloperies sur Justin. Brian a beau lui dire que Justin est libre de faire ce qu'il veut, Michael continu à sortir son venin. Pour Brian s'en est trop : une bonne droite suffit à le coller au tapis. Brian est viré de la fête.


    Chez Ted, la chambre est un peu plus sobre : fini les éclairages de boîtes et les vibros. Et cette fois, c'est la bonne...

    Au magasin de BD. Brian arrive et offre à Mike un steak pour son œil. Faut dire qu'il a un beau bleu (voire même plutôt violet). Michael comprend qu'il est allé trop loin... et que Brian est encore amoureux de Justin. Brian lui demande de continuer à écrire Rage.

    Le soir, chez Brian. Il est nu sur le lit. Un garçon monte les marches. Est-ce Justin ? On ne le voit que de dos, mais cette nuque nous est familière. Brian lui ouvre : ce n'est pas le jeune homme, mais un clone : même coiffure, mais sale gueule... Il lui demande $300. Quoi ? Brian Kinney obligé de payer pour baiser ? C'est une première. Le jeune homme s'allonge sur le lit, nu. Brian lui demande de se retourner : c'est encore de dos qu'il ressemble le plus à Justin.

    Heu... C'est moi où cet épisode me donnerait presque pitié pour Brian ?

    FIN DE L'EPISODE 43 (3/01)
    Episode précédent (Saison 2) - Episode


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  • Envoyé : 30/04/2005 02:05
     
    j'ai decouvert cet artiste assez engagé mais engagé ds quoi
     
    son dernier single c est le quotidien d'un maghrebin ..........      chapeau
     
    son 1er   ,   une partie de golf que vous pouvez voir sur son site dont je vous ai mis le lien
     
    a+ jespere qu il va pas nous peter un plomb
     
     
     
    jb

    votre commentaire
  • Thierry Falise

    On ne compte plus les exécutions sommaires de voleurs «condamnés» par un «tribunal populaire»

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