• 18/09/2005

    Mendela day, nous l'avons beaucoup aidé en prison, il nous l'a rendu au centuple merci monsieur

    mendela day
    Paroles
    It was 25 years they take that man away

    But freedom moves him closer every day.
    Wipe the tears down from your saddened eye

    They say Mandela's free
    so step outside.
    Mandela day - Mandela's free.

    It was 25 years ago this very day

    And behind four walls all through the nights and day.
    Still the children know the story of that man

    And we know what's going on right through your land.
    25 years ago - Mandela day - Mandela's free!

    And the tears are flowing
    wipe them from your face

    I can feel this heartbeat moving deep inside.
    It was 25 years they took that man away

    And I'm a workin'
    dancin'
    hissing'
    Mandela's free.
    Mandela's free.

    The rising sun sets Mandela on his way

    It's been 25 years around this very day.
    From the one outside to the ones inside we say:

    Mandela's free - set Mandela free - Mandela day - Mandela's free -...


    en francais free = libre et non gratuit



    Les libertés conditionnelles c'était 25 ans ils emportent cet homme Mais la liberté le déplace tout près chaque jour. Essuyez les larmes en bas de votre oeil attristé Ils disent Mandela libre(gratuit) ainsi le pas à l'extérieur. Jour de Mandela - Mandela libre(gratuit). C'était il y a 25 ans le même jour Et derrière quatre murs jusqu'à la fin des nuits et du jour. Tout de même les enfants savent(connaissent) l'histoire de cet homme Et nous savons(connaissons) ce qui se passe directement par votre terre. Il y a 25 ans - jour de Mandela - Mandela libre(gratuit)! Et les larmes coulent les essuient de votre visage je peux sentir ce battement de coeur déplaçant profondément à l'intérieur. C'était 25 ans ils ont emporté cet homme Et je suis un workin 'dancin' sifflant ' Mandela libre(gratuit). Mandela libre(gratuit). Le soleil naissant met Mandela à sa voie que Cela a été 25 ans autour le même jour. D'un extérieur à ceux à l'intérieur nous disons : Mandela libre(gratuit) - Mandela mis en liberté - jour de Mandela - Mandela libre(gratuit)-...


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  • help me

    je-ai besoin d'aide


    por faire les blogs ou autres,

    je ne sais pas manieres l' ordi et pourtant j'ai une jolie bécane hp xp avec plein de trucs que je me sers pas

    car je nai pas la connaissance

    merci de me dire si vous desire m'aider

    je sis que la toile, c est le retour sur soi, mais on peux rêver,

    et comme disait leo, j'aime croire aux belles histoires..

    jb

    serez vous aussi braves qu"eux!!!!!!!!!!!!!!!


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  •  vous connaissez?????????

    Sitges in Italia ?

    Situé à 25 km de Pise, le village toscan de Torre del lago est devenu en quelques années la Mecque des homos italiens en quête de plage et de fête. Avec un but revendiqué : devenir l'alternative à la célèbre station balnéaire catalane, Sitges. N'écoutant que son courage, "Illico" est allé mouiller le maillot de bain et voir à quoi tout cela ressemblait.

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  • Dans tes rêves

    Interprète : Disiz
    Auteur : Disiz
    Compositeur : Max Manner, Peter Nilstam

    Alors mon petit, tu veux faire quoi plus tard ?
    - J'voudrais faire funambule...
    Ouais! C'est bien ça...

    {Refrain} x2
    On m' disait (dans tes rêves!)
    J'veux être artiste (dans tes rêves!)
    Tu t' prends pour qui ?! (dans tes rêves!)
    Oublie, oublie! (dans tes rêves!)
    On m' disait (dans tes rêves!)
    J'veux être artiste (dans tes rêves!)
    Tu veux être quoi ?! (dans tes rêves!)
    Ouais c'est ça.. (dans tes rêves!)

    On a tous un rêve sacré
    Dans son jardin secret
    Tous un désir concret
    Tous un monde que l'on s'est créé
    Beaucoup veulent être une star
    Moi j' voulais être une comète
    Et j' me suis fait une promesse
    Fais-toi connaître et reste honnête
    Mais par lassitude
    Un jour j'ai lâché mes études
    J'avais pas d' tunes
    Et j'ai quitté ma banlieue Sud.
    J'venais d' banlieue, j'étais bronzé,
    Donc c'était pas gagné
    En plus j' suis l' fils de personne
    Donc il fallait batailler
    Et puis après j'ai grandi
    J'étais en paix comme Gandhi
    Plus candide que bandit
    J'aimais le mercredi.
    J'étais dans l' train pour Paris
    Je rêvais à travers la vitre
    On m' voyait comme un p'tit
    Mais j' voulais conquérir le titre

    {Refrain}  x2

    Et c'est D-I-S-I-I-I-Z-Z
    Z un rap imagé au million d' pixels
    La limite c'est le ciel
    Tu sais de qui c'est
    Je kiffe être artiste
    Et mon rêve je l'ai tissé
    Enfant métissé, petit, cheveux frisés
    Disiz c'est Sérigne
    J'avais ce rêve dans ma visée
    Des visions de visages de gens s'amusant
    Des présages d'anges me disant
    "T'auras ton rêve dans dix ans"
    Alors aujourd'hui j' me dis
    "Peu importe ce qu'on m' dit"
    J'ai pris le train des rêves
    Et c'est un ange qui l' conduit
    Et je rêve à travers la vitre
    Quand j'écris ce titre
    Quand j'étais petit ce que j' voulais
    C'était être artiste

    {Refrain} x2

    Ne laisse jamais les autres
    T'écarter de ta route
    Et si tu t'envoles vers tes rêves
    Tu peux t' cacher dans la soute
    Ne laisse jamais les autres
    Te faire la place au doute
    Et quand tombera la pluie des rêves
    Profites-en au goutte-à-goutte

    {Refrain}


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  • samedi, 17 septembre 2005

     je commence a aimer ou du moins acomprendre le rap, merci diziz, diams,
    Disiz la Peste, 25 ans, rappeur marié et assagi ( 28/08/2003 )
    Le rap en douceur
     Par Par Stéphanie BINET
    Disiz


    Au RER d'Evry, c'est Disiz la Peste lui-même qui vient vous chercher, son petit garçon dans les bras. Le rappeur, 25 ans, a vécu toute sa vie dans cette banlieue sud de Paris. Avant, il habitait une cité, «l'ghetto», dit-il, aujourd'hui, «un quartier plus aisé». Après les succès de son premier album le Poisson rouge, la bande originale du film Taxi 2 et son tube de l'été 2000, J'pète les plombs, le métis franco-sénégalais s'est embourgeoisé. Il aime le confort, «ma télé, mon lecteur DVD...» et il a épousé sa petite amie sénégalaise, Thioubado.

    Serigne,
    son véritable prénom, a passé toute la nuit à monter le clip vidéo de sa chanson Nébuleuse, récit de leur histoire d'amour scellée par un mariage, il y a trois ans : «Je voulais des repères avant que le succès me tombe dessus. Je m'imaginais faire mon concert, rentrer chez moi et retrouver ma femme. Je ne me voyais pas aller dans les coulisses avec des groupies. Je ne suis pas trop "sex, drugs and rock n' roll". Je sais que c'est attirant pour un être humain de se prendre pour un demi-dieu. Nous, on a assisté à la redescente des idoles des Enfants du rock : Depeche Mode, INXS, celui qui se met tout nu... Iggy Pop

    Sa génération, celle issue de l'immigration et des quartiers populaires, a grandi en écoutant les rappeurs américains et français, qui se prennent aussi pour des demi-dieux, mais leur ressemblent davantage : «C'étaient les premiers Noirs que je voyais à la télé. NTM, je les écoutais en cachette, ils disaient trop de gros mots : "C'est clair, j'ai le toucher nique ta mère, devant comme par-derrière." Si ma mère avait entendu... A côté de ça, il y avait d'autres morceaux moins légers : [i "Je suis blanc, il est noir", "Le Pen ou Farakhan [leader de Nation of Islam, ndlr] même combat." ]IAM, Ministère Amer, NTM, MC Solaar, ils m'ont fait réfléchir sur le monde.» Dans Qu'est-ce qu'on attend pour foutre le feu ?, Joey Starr et Kool Shen faisaient un certain nombre de reproches à leurs aînés : «De toute une jeunesse, vous avez brûlé les ailes, tari la sève.» Disiz la Peste, lui, ne se sent pas les ailes coupées : «C'est surtout la génération de mes parents qui s'est brûlé les ailes toute seule. Avec la libération des moeurs, ils sont passés d'une extrême à l'autre, du trop strict jusqu'à ne pas montrer une cheville... à tout va bien : on fait l'amour tous ensemble. Nous, nous sommes trop d'enfants issus de divorce ou qui ont grandi sans père à la maison.»


    C'était le cas de Serigne, né de la rencontre entre une Picarde, étudiante en lettres modernes, et d'un Sénégalais venu en France pour ses études. Après leur rupture , la jeune femme trouve refuge dans un foyer d'urgence pour mères célibataires, à Evry. Elle finit par obtenir un appartement, et devient bibliothécaire. Serigne ne reverra son père que brièvement, à 12 ans. Sa mère n'est guère étonnée par le mariage de son fils à 22 ans : «Vu ma trajectoire, raconte Dominique, 50 ans, c'est normal, on a vécu sur les chapeaux de roue. J'étais speed, il a suivi la course. Moi, je trouve que plus on a de liberté, mieux c'est. Je ne lui dis pas tout d'ailleurs, de peur qu'il me critique.»


    Métis, Disiz-Serigne affirme avoir passé son enfance à se chercher. La télé en panne, l'ado se met à lire avec frénésie dans le RER qui le mène vers une école de dessin publicitaire. Sa première lecture est la Vie devant soi de Romain Gary. Trois mois avant le diplôme, il quitte son école pour se consacrer au rap. Il devient Disiz La Peste, soit l'association de son tag et le surnom que lui donne son DJ à cause de son humour caustique. Avec le recul il avoue avoir été un peu présomptueux : «Je me disais que j'étais assez intelligent pour m'en sortir et ne pas finir au McDo. C'est notre trouille à tous. La plupart de nos parents sont ouvriers, et t'as pas envie de faire comme eux, travailler comme un chien pour 5 000 francs par mois.»


    Il y sera pourtant, caissier pendant un an et demi, après avoir rangé des couches pour bébés dans un supermarché et été chômeur deux jours : «Je l'ai trop mal vécu, prétend-il. Ma mère rentrait du travail et j'étais devant la télé en pyjama.» McDo lui aura au moins permis d'écrire un des couplets les plus drôles du rap français. Dans J'pète les plombs, il imite une caissière qui ne veut pas lui vendre un McMorning. Avec ses premiers cachets du rap, il achète son premier billet d'avion pour le Sénégal, le pays de son père : «Grâce à mes tantes qui habitent les quatre coins de l'Hexagone, explique-t-il, je connais très bien ma partie française. Le Sénégal, je ne connaissais pas, ma mère avait refusé de m'y envoyer avant ma majorité, de crainte que mon père m'y retienne.»

    A son retour, il se rapproche définitivement de l'islam : «J'avais lu le Coran à 13 ans ainsi que la Bible mais ça me paraissait abstrait, compliqué. Moi, je n'ai pas connu la religion par le dogme. Petit, comme j'étais tout seul à la maison, il fallait quelque chose pour me rassurer, j'aimais tout ce qui était chevaleresque alors, Dieu, le Bien...»


    Sa mère vit très mal son rattachement à l'islam: «Son père est musulman et, intuitivement, ça me faisait peur. Même si je suis catholique de tradition, je considère les religions comme une aliénation. Je me suis opposée à lui donner une éducation religieuse stricte... J'ai eu l'impression qu'il remettait en cause ce que je lui avais transmis, comme s'il lui manquait quelque chose.» Dans le rap, beaucoup se sont convertis : l'Antillais Kery James, la Franco-Chypriote Diams, le Français d'origine italienne Akhenaton.


    Disiz, c'est l'islam à la sénégalaise qui l'aurait convaincu : «C'est une vision humaine des choses. On t'enseigne la sacralisation des oeuvres quotidiennes. Quand tu es sur une route au Sénégal et qu'il y a une pierre, tu t'arrêtes pour la poser sur le bas-côté, ça a une valeur inestimable, presque plus que de prier et de s'agenouiller. L'islam dont on parlait ici, on aurait dit un jeu vidéo : "Si tu fais une bonne action, c'est comme si tu faisais 50 prières, donc tu pourras aller au paradis." Leurs prières, c'est un compte en banque pour le paradis.»


    Son beau-père, Samba Faré, 63 ans, ancien inspecteur de l'éducation au Sénégal, n'est pas surpris. Résident à Evry depuis 1995, il croise bon nombre de jeunes Français métis pris soudain de mysticisme : «Finalement, analyse le retraité, nous ne leur avons transmis que des valeurs matérielles : gagner de l'argent, avoir un bon boulot, une belle maison. Mais nous ne leur avons pas donné, ni à l'école ni dans leurs familles, d'objectif d'homme comme construire une société.»

    Pour lui, Disiz-Serigne est emblématique de la génération à venir, à construire. Sur la question du voile à l'école, par exemple il est encore partagé : «Je comprends que ça choque dans un pays laïque, mais refuser l'éducation à une adolescente à cause de son voile, ça me dérange.» En ce qui concerne sa femme, il est catégorique : «Je ne supporterai pas qu'elle en porte un, c'est peut-être ce que j'ai gardé de mon éducation française. Ma femme est un trésor. La préserver, ce n'est pas la cacher.» L'avenir est au métissage, disait Senghor.
     

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