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Affaire Vanneste : le SNEG assigne le député en justice
Le SNEG, Syndicat National des Entreprises Gaies, dans une démarche semblable à celles initiées par SOS Homophobie et Act Up-Paris, assigne à son tour en justice Christian Vanneste pour injures homophobes suite aux propos tenus dans le quotidien "La Voix du Nord" fin janvier dernier. Le député UMP y affirmait notamment "que lhomosexualité est inférieure à l'hétérosexualité".
Par cette action, le SNEG "entend ne pas laisser quiconque tenir de tels propos, à fortiori un élu de la République, qui plus est issu d'une majorité qui vient de créer la Haute Autorité de Lutte Contre les Discriminations et pour l'Egalité, texte renforcé par des amendements visant à lutter contre l'homophobie".
La citation a été délivrée ce jeudi 21 avril, une première audience est fixée au 29 juin 2005.
Lire aussi :
Vanneste assigné en justice le 26 avril
Homophobie : Act-up poursuit le député Vanneste
Homophobie : Perben sommé de poursuivre Vanneste
Vanneste : deux associations en appellent à Perben
Mis en ligne le 26/04/05
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l autre jour j'ai vu sur arte un docu sur le regime de pol pot
qui a fais environ 3.000.000 de morts
il est mort de sa belle mort
tous les apparatchikis idem
sauf 2 qui vont etrent bienntot jugés
TA MOK ET TCHOUU
et surprenand un francais qui bossais la bas , a ete mis en prison sous ce regime, il etait soupconné d'etre un agent du cia
il devais mourrir, comme les autres
mais le chef du camp un certain tchouu , apres l'avoir questionné , comme tous les autres, et bien le prisonnié la désarconné en repondant a tous les defauts, de ce regime, mais aussi aux defauts du regime capitaliste, de la revolution francaise, qui etait faite pour et par des bourgois et non par des ouvrier ou des gueux,
mais les gueux ne pouvaient que s'executer
et ils sevirent regulierement, lui enchainé a son arbre , entandant les cris ou sifflements de ballles qui tuaient les "collabo"
un jour son bourreau vint le delivrer et il pu rentrer en france
mais il repartit a pnon phem, puis un jour il recu un appel telephonique anonyme d'un journaliste ricain qui lui dit ceci, je vous passe quelqu"un et c'etait tchouu
il lui demanda avant d etre emprisonné a son tour le livre
le capital , + des vitamines car son bourreau etait tres faible
il le fit, puis l'encien prisionier francais demanda a la voir, le gouvernement viet lui accepta 5 mn, et la on assiste un un discours, un echange surrealiste..... mais pronfond
il conclu en disant, tchouu, pinochet, staline, hitler, tous les dictateur ne sont pas des monstres, nous sommmes tous comme eux
mais c est a developper en pronfondeur, voir boris cyrulnick
maintenant que je sais cela dit til,j 'ai peur de moi
ce prisonnier est jean francois bizot, ethnologue.
a voir sur ARTE ou sur le site.
jb
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Therry; ce serait grand pour des activistes gais américains pour demander au Président Bush de condamner homophobia. Cependant, le Président Bush est un homophobe et il soutient homophobia. Il est tout au nom de son Dieu. Joe Grande Seattle
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Louise Hogarth, The gift
Même s'il a été peu montré en France (une projection à Paris fin 2004, une diffusion sur Pink TV en janvier), "The gift" est certainement l'un des documentaires qui ont le plus remué la communauté gay récemment. Il faut dire que le propos du film de Louise Hogarth est tout sauf anodin : la réalisatrice s'intéresse à ces gays qui choisissent intentionnellement de se faire contaminer par le VIH. Des "bug chasers" à qui elle donne la parole pour tenter de comprendre ce qui motive ces garçons, souvent jeunes.
Sans chercher à donner à cette démarche extrême une place qui reste heureusement marginale au sein de la communauté homosexuelle, "The gift" n'en pose pas moins de façon très forte la question de la perception du sida aujourd'hui chez les gays, et de ce qui apparaît comme un raté de la prévention qui n'arrive plus à sensibiliser ceux qu'elle est censée informer et alerter.
Le film, au travers de témoignages mêlés (ceux de bug chasers mais aussi de malades de longue durée, de gays pratiquant le safe sex et de militants anti-sida), pointe l'essentiel : le sida, dans nos sociétés occidentales, n'apparaît plus comme une maladie mortelle, et les traitements et leurs effets paraissent anodins. "Une large proportion de la populatin n'a plus suffisamment peur du sida pour s'en protéger, ni le moindre désir d'en entendre parler" résume crûment Louise Hogarth.
didier roth-bettoni
"The gift" , de Louise Hogarth. Dist. : MK2 Edition.
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