• Mgr Anatrella : "L'homosexualité apparaît comme un inachèvement et une immaturité foncière de la sexualité humaine"
    29 novembre 2005
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    "L'homosexualité apparaît comme un inachèvement et une immaturité foncière de la sexualité humaine", et par conséquent les homosexuels "ne sont pas dans l'état adéquat pour se marier, pour adopter des enfants et pour accéder au sacerdoce", écrit le prêtre et psychanalyste français Tony Anatrella dans un commentaire du document publié par le quotidien officiel du Vatican.

    Les prêtres homosexuels, estime-t-il, ont tendance à détourner leur fonction "à des fins narcissiques". Ils sont "dans la séduction" et ont "de sérieuses difficultés pour se situer institutionnellement dans la coopération avec les autres", ajoute-t-il.

    "Quelques uns adoptent des conduites affectives douteuses, formulent des critiques mettant en cause des réalités essentielles de la vie sacerdotale et contestent les vérités enseignées par l'Eglise", ajoute le prélat.

    Mgr Anatrella est consultant aux conseils pontificaux pour la famille et pour la santé, qui ont participé à l'élaboration de la directive du Vatican.

    Il souligne que ce document, "préparé de longue date" avec le concours de psychiatres et de théologiens, "n'est pas un texte réactif" aux scandales sexuels qui ont récemment éclaboussé plusieurs Eglises.

    Mais il dénonce la "permissivité" qui s'est développée "depuis plusieurs années, dans certains pays" et qui a conduit à des "scandales" démontrant "que l'on a manqué de lucidité et de sagesse".

    Outre les "risques de passage à l'acte sexuel", Mgr Anatrella énumère les comportement développés, selon lui, par les prêtres homosexuels : "relations souvent fusionnelles", "repli sur un clan de personnes de même type", "élections effectives exacerbées", "position narcissique face à une communauté qui la perturbe", "rapport à l'autorité fait de séduction et de rejet", ou encore "exercice du gouvernement manipulatoire des idées et des personnes".

    Les évêques et les personnes en charge de la formation des séminaristes sont en conséquence appelés à détecter les candidats à problèmes, et le prêtre-psychanalyste leur donne quelques clés de discernement.

    Attention en particulier "aux candidats qui ont rencontré des difficultés d'identification à leur père", à ceux "qui demeurent dans des hésitations identitaires, qui ont tendance à s'isoler, qui ont du mal à s'interroger sur eux-mêmes, qui sont parfois dans le déni des questions sexuelles, qui ont une propension à s'idéaliser".

    Les séminaristes qui ont une amitié sélective avec un autre étudiant, qui ont eu durant l'enfance ou l'adolescence des expériences homosexuelles "qu'ils ont tendance à minimiser", qui "visitent des sites pornographiques sur internet", qui "manifestent un sentiment de culpabilité" ou qui "se vivent comme des victimes", sont également à surveiller, estime Mgr Anatrella.

    Le prélat met cependant en garde contre "les conduites de soupçon et de délation" qui pourraient se développer au sein de l'Eglise après la publication de la directive du Vatican.

    Il précise que l'instruction ne vise pas les homosexuels qui sont déjà ordonnés prêtres, et qui le demeurent.

    Il leur est cependant demandé de s'abstenir de vivre dans des communautés "regroupant le même type de personnalité", de ne pas revendiquer un ministère auprès des homosexuels, et de ne pas participer à des associations militant en faveur de l'homosexualité.

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  • dimanche, 4 décembre 2005

     queer as folk

    cette serie que j'aime tant?  commençait a me lasser , je trouve qu'elle s'intalle trop dans la normalité de la vie,  chose qui ne devrais,  pas puisque le fait d'etre gay est en soit une rébellion a la vie, a une certaine forme de vie, nous voyons que tous le monde a 'reussi' dans la vie, tous se sont embourgeoisés, tous pouponnent, bref cela ronronnent

    mais ce soir VIC est mort, bon c 'est fort, car le personnage est haut en couleur, la situation dans laquelle cela c' est passé, et il etait seropo et nous sommes que le 3 décembre......

    mais la ou je trouve encore que c' est nul, il font encore mourir un homo, merde, trop fort de café

    ceci dit javais les boules,  et les larmes me montaient dans la gorge,  peut etre des souvenirs,

    et puis faut bien que le feuilleton continue, il y a 5 saison, en france nous en somme a la saison 4

    adieu a tous les VIC  de la terre, adieu mon ange PATRICE........pardon A BIENTOT

     


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  • je recherche exactement un logiciel pour faire des photos a partir des fichiers que j'ai telechargé

    merci a la personne ki ma contacté

    jb


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  • Sida : Act Up-Paris redoute la fermeture de nombreux centres de dépistage

    Une quinzaine de militants d'Act Up-Paris a occupé hier matin les locaux de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES) pour alerter contre la fermeture prochaine de nombreux centres de dépistage.
    Alors que tous les indicateurs montrent une baisse tendancielle des dépistages, alors que Xavier Bertrand se dit "inquiet de la recrudescence de la transmission", alors que le Premier ministre annonce vouloir "adapter les campagnes et les actions de prévention en donnant une image plus réaliste de la gravité de l'infection", une réforme, "mal gérée" selon Act Up, de "recentralisation" des politiques de prévention met en péril l'existence même de nombreux CDAG à compter du 1er janvier 2006.

    "Cette recentralisation, telle qu'elle a été conduite, risque de concentrer le dépistage dans les hôpitaux au détriment des structures en ville. Or, il y a des gens qui n'iront pas à l'hôpital se faire dépister, notamment parce qu'ils craignent le milieu médical", explique Act Up pour qui des centres de dépistage sont menacés dans les villes de Boulogne-sur-Mer, Caen, Dax, Le Mans, Mont-de-Marsan, Perpignan et Toulouse, ainsi que dans les départements de la Seine-et-Marne et des Hauts-de-Seine.

    "A quoi bon faire des campagnes d'incitation au dépistage alors même que l'on réduit l'accès aux centres de dépistage anonyme et gratuit (CDAG)", a interrogé l'association.

    C'est pour "obtenir un rendez-vous à Matignon à ce sujet", que les militants ont occupé jeudi vers 15H00 les locaux de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé, à Saint-Denis. L'association réclame une révision du plan envisagé.

    La manifestation unitaire des associations anti-sida sur le parvis de Beaubourg à l'occasion du 1er décembre intégrait aussi cette revendication. Elle a rassemblé entre 3 et 5 000 personnes qui entendaient dénoncer la "régression" générale face à l'épidémie.

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  • Sida : Act Up-Paris redoute la fermeture de nombreux centres de dépistage

    Une quinzaine de militants d'Act Up-Paris a occupé hier matin les locaux de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES) pour alerter contre la fermeture prochaine de nombreux centres de dépistage.
    Alors que tous les indicateurs montrent une baisse tendancielle des dépistages, alors que Xavier Bertrand se dit "inquiet de la recrudescence de la transmission", alors que le Premier ministre annonce vouloir "adapter les campagnes et les actions de prévention en donnant une image plus réaliste de la gravité de l'infection", une réforme, "mal gérée" selon Act Up, de "recentralisation" des politiques de prévention met en péril l'existence même de nombreux CDAG à compter du 1er janvier 2006.

    "Cette recentralisation, telle qu'elle a été conduite, risque de concentrer le dépistage dans les hôpitaux au détriment des structures en ville. Or, il y a des gens qui n'iront pas à l'hôpital se faire dépister, notamment parce qu'ils craignent le milieu médical", explique Act Up pour qui des centres de dépistage sont menacés dans les villes de Boulogne-sur-Mer, Caen, Dax, Le Mans, Mont-de-Marsan, Perpignan et Toulouse, ainsi que dans les départements de la Seine-et-Marne et des Hauts-de-Seine.

    "A quoi bon faire des campagnes d'incitation au dépistage alors même que l'on réduit l'accès aux centres de dépistage anonyme et gratuit (CDAG)", a interrogé l'association.

    C'est pour "obtenir un rendez-vous à Matignon à ce sujet", que les militants ont occupé jeudi vers 15H00 les locaux de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé, à Saint-Denis. L'association réclame une révision du plan envisagé.

    La manifestation unitaire des associations anti-sida sur le parvis de Beaubourg à l'occasion du 1er décembre intégrait aussi cette revendication. Elle a rassemblé entre 3 et 5 000 personnes qui entendaient dénoncer la "régression" générale face à l'épidémie.

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