• samedi, 3 décembre 2005

     

    slt a tous

     

    je recherche un logiciel de capture de, dvd, dvdx, je explique

    j'ai dans mon pc des fichiers vidéos, soit en avi, dvdx, etc...

    je les visualise tres bien grâce a real par exemple, mais je voudrais tirer des photos de ces fichiers

    cela est il possible?

    merci DE ME RENSEIGNER  et  si possible cerise sur le gâteau le logiciel  free gratuit

    jb


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  • France (Homoparentalité)
    Mission parlementaire sur la famille: vers un statut pour le beau-parent?

    Dans sa table-ronde du 30 novembre 2005, la mission d'information parlementaire sur la famille s'est penché sur le sort des beaux-parents, pour lesquels plusieurs associations familiales réclament un statut légal. Le sociologue Didier Le Gall a ainsi proposé un statut spécifique pour le beau-parent, «pour les besoins de la vie courante», car «aujourd'hui, se pose de plus en plus la question de la pluriparentalité». «Avant de créer un nouveau statut, examinons ce qui existe déjà», a préconisé Adeline Gouttenoire, professeur de droit à l'université de Grenoble II. Elle a exposé les possibilités offertes par la tutelle testamentaire, la délégation de l'autorité parentale, l'adoption simple et l'adoption plénière de l'enfant du conjoint, en proposant de clarifier ces points pour éviter les «différences d'interprétation» qui existent notamment pour la délégation de l'autorité parentale. Elle s'est prononcée pour l'ouverture de l'adoption simple de l'enfant du concubin pour tous les couples, sous condition d'un délai de vie commune et de l'accord de l'enfant. Mais Florence Millet, maître de conférence de droit à l'université de Cergy Pontoise, qui s'est penchée uniquement sur les cas d'enfants ayant deux filiations établies, estime qu'un statut de beau-parent entraînerait une «concurrence» avec le deuxième parent légal, qui nuirait à l'enfant, tout comme une délégation de l'autorité parentale. Point de vue partagé par Edwige Antier, pédiatre et élue UMP, qui peut soutenir, avec ses «35 ans d'expérience», qu'il est «très rare» qu'un lien affectif se noue entre le beau-parent et l'enfant et qu'il ne faut pas «enlever son rôle au père de naissance». Quant aux couples homosexuels, Edwige Antier propose un «homoparrainage» [sic] de l'enfant du conjoint, suscitant des expressions d'approbation parmi les députés présents. «Reconnaître deux parents de même sexe reviendrait à bouleverser la construction psychique de l'enfant», a précisé la pédiatre. «Ne faisons pas de statut au rabaix pour le parent social», a demandé Mathieu Peyceré de l'APGL, défendant l'idée d'un «engagement parental» qui se traduirait par une adoption plénière de l'enfant du concubin ou du conjoint pacsé dès la naissance. Il a aussi plaidé pour l'ouverture du partage de l'autorité parentale à tous les couples, en supprimant notamment la mention de «circonstances exceptionnelles» qui figure dans la loi. Le rapport de la mission devrait être remis courant janvier 2006.


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  • Internet, attention danger

    L'association Psy Gay reçoit les chatteurs impénitents devenus accros à la drague virtuelle.
    En quoi Internet peut-il être un danger ?

    Chez certains, Internet peut manger progressivement leur vie au point de devenir indispensable, surtout auprès des inactifs. Nous ne sommes pas à égalité sur le terrain d'Internet. Et vouloir réaliser à tout prix et très vite tous nos fantasmes peut être dangereux. Lorsque ceux-ci se réalisent et disparaissent les uns après les autres, on constate une perte de désir, des repères. Cette culture du " toujours plus " est néfaste. Attention, nous ne disons pas qu'il ne faut pas réaliser ses fantasmes.

    A quoi servent-ils ?

    Le fantasme, c'est le désir, la frustration de ne pas le réaliser. Dès qu'il est réalisé, il n'y a plus de désir. Très tôt dans la vie, nous construisons notre personnalité autour de cela. L'Internet véhicule le fantasme. Il y a autant de façons d'utiliser Internet que de personnes comme de fantasmes. Les gens que nous recevons sont en cours de déstructuration, notamment chez les grands consommateurs d'Internet. C'est un état quasi proche de la mort. Le signal d'alarme peut être l'arrêt brusque de la consommation [du web, ndlr], comme un réflexe de survie.

    Internet favorise-t-il le mensonge ?

    Avec Internet, on peut se construire un personnage virtuel, valorisant une idée narcissique de soi. Sur les chats, on ment sur tout : âge, statut, sérologie, photos, descriptions... Les rencontres restent possibles mais souvent sans consommation. Parfois, certains patients n'arrivent plus à savoir s'ils se sont rencontrés ou pas. On entend souvent : " J'ai une relation avec... " (personne avec laquelle ils chattent depuis 6 mois ou un an) qu'il faut parfois traduire par relation virtuelle. La sexualité est sublimée.

    Association Psy Gay : 01 42 74 16 02, du lundi au vendredi de 21 h à 22 h 30. www.psygay.com

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  • Brahim Asloum, objet sexuel
    pour Vogues Homme

    Le boxeur beur se dévoile en objet sexuel sado fashion.

    Brahim Asloum boxeur beur

    La couverture du magazine frappe comme un coup de point. On y voit le boxeur beur Brahim Asloum en gros plan avec un dentier fait de dimant.

    Avec ce titre : ch'adore.

    Cela nous a donné en vie d'en voir plus. Et on peut dire qu'on a été servi.
    Pour commencer, sachez que la livraison du Vogues Homme Automne est consacré à la culture arabe. Comme pour les numéraux spéciaux de ce prestigieux magazine, la partie redactionnel est de grande qualité

    On y trouve en vrac un reportage sur l'écrivain mythique égyptien Naguib Mahfouz, la guerre en Irak vu par Dominique Wolton qui dénonce les clichés sur le monde arabe, un tour d'horizon sur la jeunesse branché du Caire, un portrait de la comique britano musulmane Shazia Mirza et d'un DJ en vogue qui remixe version club les monuments de la musique arabe : DJ Mohamed, plus un reportage photo assez branché sur Istanbul, sur Beyrouth, et surtout une série photo éblouissante sur des beaux mecs de Koweit city la nuit.
    Tout ça est bien déjà. Mais il y a le bonus !
    Notre sex symbol à nous, le boxeur beur le plus craquant, j'ai nommé Brahim Asloum.

    Brahim Asloum boxeur beur

    La star des rings n'a pas eu froid aux yeux. Il s'est littéralement donné à l'objectif du talentueux photographe Ali Madavi. Intitulé Brahim Time, la série présente le boxeur en corset féminin serré au niveau de la taille par ...une montre !
    Comme dessous il porte un slip kangourou Gucci, c''est plus chic, mais TERRIBLEMENT sexy !

    Le reste des photos est dans le même esprit, mi sado, mi fashion star. Résultat, Jamais Asloum n'a été aussi sexy que dans cette série. Il est tout simplement fantastique. On notera au passage qu'il faut de l'aplomb pour un jeune beur de se prêter à ce genre de pose suggestive. Brahim l'a fait. Vogues a mit le paquet.

    Résultat : un numéro à posseder D'URGENCE.


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  • Les homos peuvent adopter !

    Les députés belges ont adopté dans la nuit du 1er au 2 décembre en séance plénière, à une courte majorité, une proposition de loi controversée ouvrant l'adoption aux couples homosexuels, qui disposent depuis deux ans du droit de se marier. Le texte peut encore être examiné par le Sénat (chambre haute du parlement) dans les 60 jours, mais c'est la Chambre des députés qui aura le dernier mot. Les socialistes (PS et SPA), les écologistes (Ecolo) et les libéraux flamands (VLD) ont voté pour la proposition, les libéraux francophones (MR) se sont divisés, les sociaux-chrétiens (CDH et CDV) et l'extrême droite (Vlaams Belang) ont voté contre. Les homosexuels de nationalité belge ou qui résident en Belgique disposaient jusqu'ici des mêmes droits que les hétérosexuels en matière de mariage, à l'exception toutefois des droits liés à l'adoption et à la filiation. Après l'entrée en vigueur de la loi, les homosexuels, mariés ou cohabitant, seront soumis aux mêmes règles que les couples hétérosexuels dans leur parcours d'adoption, tant pour des enfants belges qu'étrangers. Les partisans du texte ont souligné durant les débats que de nombreux couples homosexuels élevaient déjà des enfants en Belgique mais que ceux-ci ne disposaient pas des mêmes protections juridiques que les enfants d'hétérosexuels, notamment en cas de séparation du couple ou décès d'un des conjoints. (avec AFP)


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