• lundi, 26 décembre 2005

     

    ouhaaaa je suis content, grâce a free, je peux capter sur mon pc toutes les chaines de tv grâce a la freebox qui devient multiposte

     

    merci free

     

    jb

     


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  • groups.msn.com/vitrollesgay
    dimanche, 25 décembre 2005

     bonnne fete a nos amis de confession juive

    Hanouka, fête des lumières :

     
    chandelier de hanouka

    Les familles juives ne célèbrent pas Noël, mais elles ont également une fête à célébrer en décembre : pendant Hanouka, la fête des lumières, chacun allume une bougie d'un chandelier à huit branches, chaque soir de la semaine.

    Cette coutume commémore la reconquête de l'Israël au IIè siècle avant J.C., dirigée à l'époque par un roi gréco-syrien : Antochius. Il avait profané le temple de Jérusalem et voulait imposer au peuple juif l'adoration de divinités grecques. Judas Maccabée incita ses compatriotes juifs à se révolter et réussirent à chasser les Syriens de Jérusalem. Hanouka est célébrée l'honneur de cette victoire.

    Le chandelier à huit branches rappelle le miracle d'une petite fiole contenant assez d'huile pour une journée qui avait été trouvé dans les débris du temple de Jérusalem aprés sa destruction, et qui aurait miraculeusement permis d'illuminer le chandelier pendant huit jours...

    Pendant Hanouka, on s'échange un cadeau par jour pendant huit jours, et les enfants juifs reçoivent traditionnellement une toupie marquée de quatre initiales hébraïques qui signifient "ce fut là un grand miracle".


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  •  jc aime la france

    Jacques chirac qui sauf erreur ou omission est notre président de tous les français, est partis en vacances au maroc, chez son ami M6

     

    c'est fous ce qu il aime bien la france

     

    merci monsieur chirac, le fort de bregancon est pas assez cosy???


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  • darkron

    our la personne ci-dessus

    oui mais c'est payant????

    JB

    BONNE FETES A TOUTES ET A TOUS


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  • Une année cinématographique hors de l'ordinaire
    Daniel Chrétien</a /> - <nobr>24 décembre 2005</nobr>

    Bon d'accord. Les films à thématique homosexuelle n'ont rien de nouveau. Bon an mal an, quelques films mettant en vedette des personnages gais et lesbiens prennent l'affiche et attirent un certain nombre de spectateurs.

    Mais cette année, on dirait qu'il y a dans l'air un je-ne-sais-quoi de différent. Une qualité jusqu'ici jamais vue dans ce genre de cinéma. Le film de l'année au Canada porte sur un jeune adolescent qui découvre son homosexualité et sur les réactions de ses frères, de sa mère, mais aussi (et surtout) de son père. C.R.A.Z.Y. est sans doute l'un des meilleurs films, en tout cas l'un des plus achevés et des plus solides, à avoir été produit au Québec. Le réalisateur Jean-Marc Vallée et le scénariste François Boulay ont abordé avec une honnêteté rafraîchissante la vie d'un jeune homosexuel au Québec dans les années 1970 et 1980.

    Le film a été couronné de nombreux prix tant au Canada qu'aux États-Unis, en Espagne et au Maroc. On s'attendait à ce qu'il soit en nomination pour le Golden Globe du meilleur film étranger. Malheureusement, sa candidature n'a pas été retenue. Reste à espérer que les membres de l'Académie du cinéma le retiennent parmi les finalistes dans la même catégorie lors de la prochaine cérémonie des oscars. En effet, c'est ce film que le Canada a choisi d'envoyer en compétition aux Academy Awards, cette année. Mais comme les Golden Globes sont souvent un avant-goût de ce que sera la cérémonie des oscars, gardons la tête froide et nos espoirs pas trop élevés.

    L'autre film gai qui raflera une foule de prix en 2006 est Brokeback Mountain, d'Ang Lee (voir critique, en page 7). Il s'agit encore ici d'un film marquant. Pendant que C.R.A.Z.Y. démontre les difficultés qu'éprouve un ado à accepter son homosexualité, Brokeback Mountain s'attarde à la difficulté qu'ont certains à vivre cette différence, même à l'âge adulte.

    Encore cette année, les scénaristes font leurs choux gras des relations de couple (homo ou hétéro) qui battent de l'aile. Le malheur, il est vrai, fait de bien meilleurs films (sauf dans le cas du Fabuleux destin d'Amélie Poulain, mais ça, c'est une histoire d'exception). Le malheur fait aussi parfois de bonnes comédies! Horloge biologique, par exemple, de Ricardo Trogi, a exploité abondamment, cette année, les malheurs des hommes pris au piège par des femmes autoritaires et exigeantes. Cette suite de Québec-Montréal était moins forte que ce dernier, mais l'humour y était décapant et corrosif, comme on l'aime.

    Comme c'est devenu la tradition, au Québec du moins, des films et des téléromans à succès d'une autre époque ont subi une cure de rajeunissement et ont pris l'affiche sur le grand écran. Cette année, on a ressorti des boules à mites l'histoire d'Aurore l'enfant martyre et du Survenant. Deux films dont on aurait facilement pu se passer, mais qui ont tout de même connu un beau succès commercial. Preuve que le cinéphile est toujours attaché à ses racines. D'ailleurs, à quand une adaptation au cinéma du roman La Sagouine d'Antonine Maillet? La question mérite d'être posée et le temps presse de passer à l'action. La Sagouine originale, Viola Léger, est encore alerte et en forme, mais elle n'est plus très jeune. Et je vois mal qui pourrait jouer ce personnage aussi bien qu'elle...

    Les reprises de succès anciens sont aussi à la mode au sud de notre frontière. Mais au pays de l'Oncle Sam peu de films peuvent se vanter d'avoir été marquants en cette année 2005. Tom Cruise et Steven Spieberg promettaient le blockbuster de l'été avec War of the Worlds, mais les promesses n'ont pas été tenues. À part les cris insupportables de la petite Dakota Fanning (par ailleurs fort bonne), on ne se rappelle pas grand-chose de ce film.

    Les Américains nous ont tout de même offert quelques petits bijoux à travers l'innombrable quantité de mièvreries qu'ils produisent chaque année. Je pense, entre autres, à The Assassination of Richard Nixon, mettant en vedette un Sean Penn encore une fois extraordinaire, je pense aussi à Crash, qui nous a révélé une Sandra Bullock dans un rôle un peu plus consistant que ceux auxquels elle nous a habitués, et je pense finalement à Me and You and Everyone We Know, petite chronique décapante et poétique relatant une histoire d'amour hors de l'ordinaire. N'est-ce pas le propre du cinéma, de nous faire sortir de notre ordinaire?

    En ce qui concerne le Nouveau-Brunswick, on peut noter la parution des documentaires Les bootleggers d'Atlantique ainsi que La légende Bricklin, des Productions Cojak. Le tournage du long-métrage Black Eyed Dog a duré 26 jours au N.-B. et la sortie en salles est prévue en 2006.


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