-
je l'ai dis et redis
donc je le dis encore une fois j'emmerde les pisseS froid Qui critiques ma grammaire, orthographe, syntaxe, je les merdes,
je fais ce blog pour me faire plaisir
je ne vous obliges pas a me lire
et un blog tout bête comme le mien qui revois en moyenne 700 visites/jours, je n'en demande pas tant.
merci a ceux qui sont développes du carafon
jb dit maître CAPELO
1 commentaire -
je vois que des mecs de pink redifff regardes ce blog en particulier bien que j'en ai d'autres bien plus virulent a leur endroit, mais peut etre ne savents ils pas faire des recherches
sur pink forum ca ronronne!!! bizzzzzzzzzz
c est ligt
mais j'ai ete soutenu par un mec qui bien que pas ok avec moi sur toute la ligne, m'a rendu 'hommage' je flippe
jb
votre commentaire -
bonjour, welcome, bienvenu, benvenito, http://groups.msn.com/vitrollesgay
mardi, 18 octobre 2005encore des promesses non tenues Le collectif Sida, grande cause nationale veut rencontrer Chirac
Les associations membres du collectif "Sida, grande cause nationale 2005" se sont plaintes vendredi d'attendre depuis le printemps de rencontrer le président de la République."Les associations membres du collectif "Sida, grande cause nationale 2005" appellent le président de la République à répondre, de manière favorable, à la demande d'audience qu'elles lui ont faite dès le printemps de cette année", écrivent dans un communiqué Act Up, Aides, Crips Ile-de-France, ELCS, Sidaction, Sida Info Service, Solidarité Sida et Unals. Les associations souhaitent "échanger avec lui à propos de l'action de la France aujourd'hui et dans les années à venir dans la lutte mondiale contre le sida".
Elles estiment que depuis le début 2005, la lutte contre le sida a connu "de nombreuses annonces encourageantes" comme la taxe sur les billets d'avion, mais également "bien davantage de réalités désespérantes" comme la quasi-banqueroute du Fonds mondial et l'échec de l'initiative visant à mettre trois millions de malades sous traitement d'ici la fin de l'année.
En outre, "l'accès aux traitements génériques est dangereusement menacé", notamment par la multiplication d'accords commerciaux bilatéraux.
Les associations souhaitent donc rencontrer le président pour comprendre ses propositions et exprimer les besoins des associations de malades ou de soignants des pays en développement avec lesquelles elles travaillent en partenariat.
votre commentaire -
pour google erth c est facile a telcharcher
tu va ur la page google
et pour lla ville tu entre le non de laville et c est tout
jb
1 commentaire -
bonjour, welcome, bienvenu, benvenito, http://groups.msn.com/vitrollesgay
mardi, 18 octobre 2005encore des promesses non tenues Le collectif Sida, grande cause nationale veut rencontrer Chirac
Les associations membres du collectif "Sida, grande cause nationale 2005" se sont plaintes vendredi d'attendre depuis le printemps de rencontrer le président de la République."Les associations membres du collectif "Sida, grande cause nationale 2005" appellent le président de la République à répondre, de manière favorable, à la demande d'audience qu'elles lui ont faite dès le printemps de cette année", écrivent dans un communiqué Act Up, Aides, Crips Ile-de-France, ELCS, Sidaction, Sida Info Service, Solidarité Sida et Unals. Les associations souhaitent "échanger avec lui à propos de l'action de la France aujourd'hui et dans les années à venir dans la lutte mondiale contre le sida".
Elles estiment que depuis le début 2005, la lutte contre le sida a connu "de nombreuses annonces encourageantes" comme la taxe sur les billets d'avion, mais également "bien davantage de réalités désespérantes" comme la quasi-banqueroute du Fonds mondial et l'échec de l'initiative visant à mettre trois millions de malades sous traitement d'ici la fin de l'année.
En outre, "l'accès aux traitements génériques est dangereusement menacé", notamment par la multiplication d'accords commerciaux bilatéraux.
Les associations souhaitent donc rencontrer le président pour comprendre ses propositions et exprimer les besoins des associations de malades ou de soignants des pays en développement avec lesquelles elles travaillent en partenariat.
votre commentaire