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    mardi 25 octobre 2005, mis à jour à 18:21
    Daniel Leconte
    "On arrive à une homogénéité des sexes"

    Propos recueillis par Anne-Laure Pham Viet Lac

    3 questions à Daniel Leconte, producteur et présentateur de la soirée Thema: Qu'est-ce qu'un homme? Qu'est-ce qu'une femme?, diffusée mardi 25 octobre, à 20h40, sur Arte. Deux documentaires au programme: Sexe?, de Fabrice Gardel et Sophie Nahum, et L'homme qui rêvait d'être enceint, de Sophie Lepault et Capucine Lafait. Un débat, animé par Daniel Leconte, clôturera cette soirée, en partenariat avec L'Express (lire notre dossier Hommes-femmes: les mystères de la différence) avec pour invités le Dr Bernard Cordier, psychiatre, Marcella Iacub, juriste, et Barbara Wilken, professeur de littérature


    Pourquoi consacrer une soirée au rapport homme-femme?
    Dans ce secteur, il y a toute une série de découvertes et de pratiques nouvelles. La question du genre, notamment, est assez nouvelle en France - contrairement aux Etats-Unis - et, à ma connaissance, réservée à quelques initiés, surtout féministes ou philosophes. Le sujet demeure peu abordé par la presse : voilà pourquoi il est intéressant de mettre ce débat à la disposition du spectateur.

    Sommes-nous en train de vivre une révolution des genres ?
    Le terme est galvaudé, mais on voit bien qu'il existe des débats sur le Pacs comme sur le mariage ou l'adoption chez les couples homosexuels... On assiste à une révolution incroyable dans les mentalités, à des débats inconcevables il y a 20 ans. Le premier film documentaire qui sera diffusé mardi aborde la question des transsexuels: les gens savent-ils que l'opération est remboursée à 100% ? C'est une décision prise par des individus, approuvée par la collectivité, mais la question a été réglée sans même être débattue. On a donc un décalage entre la pratiques et les idées reçues. De plus, on arrive à une homogénéité des sexes, puisque, d'après des experts, dans quelques dizaines de millions d'années, l'homme et la femme se seront génétiquement rapprochés. Le débat laisse place à des questions vertigineuses, aussi importantes que celles posées par la procréation artificielle à ses débuts.

    Y a-t-il une vraie différence entre l'homme et la femme ?
    Oui, effectivement, il y a une très grosse différence, et, en prenant de l'âge, bien plus que je ne le pensais! Plus sérieusement, on assiste à un rapprochement des deux sexes, dont les médias parlent beaucoup. Le débat fait rage, notamment chez ceux qui prônent un retour à une configuration des rapports plus "classique" entre l'homme et la femme vis-à-vis de leur enfant. Le débat est ouvert. Cela me rappelle une émission que nous avions faite, il y a 3 ou 4 ans: Les hommes et les femmes sont-ils faits pour vivre ensemble ?


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    mardi, 25 octobre 2005

     
    ''Faire avancer la recherche'' par Franck Tanguy,
    porte-parole de l'Association
    des parents et futurs parents
    gays et lesbiens

    Quels sont les objectifs de la conférence internationale qui se tient aujourd'hui et demain à Paris ?

    - La conférence a pour principal but de faire avancer la recherche en cours sur l'homoparentalité. Des centaines d'études ont été faites sur les santé et le bien-être des enfants qui vivent dans des familles homoparentales. Elle disent toutes la même chose, à savoir que ces enfants ne vont ni mieux ni moins bien que ceux qui sont élevés dans une famille où sont présents les deux sexes au quotidien. Pour nous, c'est un acquis. Ces études n'ont pas à être refaites.
    Ce que nous voulons donc faire avec cette conférence, c'est aller au delà de ces études. Il nous semble important de parler de la famille homoparentale comme d'une des formes de la famille recomposée et donc des problèmes que cela peut engendrer.

    Vous dites vouloir "peser sur le débat qui va s'instaurer en vue de l'élection présidentielle de 2007". Comment ?

    - Nous voulons peser parce que le travail que l'on fait est destiné à être diffusé, auprès des médias, des associations, mais aussi des hommes politiques.<script language="JavaScript"></script>

    Nous comptons avoir un poids dans ce débat en suscitant d'autres recherches qui appuieront les arguments que nous avançons depuis plusieurs années. Après les précédentes conférences en 1997 et 1999, de nombreux chercheurs s'étaient emparés du sujet et en avaient étudiés différents aspects comme l'adoption. Nous espérons donc que la conférence va nous permettre d'interpeller l'opinion et de demander aux futurs candidats leurs positions sur le sujet.

    Où en est la reconnaissance de l'homoparentalité ?

    - D'un point de vue européen, un certain nombre de pays ont avancé. Le plus emblématique est l'Espagne, mais on peut également citer la Belgique, les Pays-Bas et les pays nordiques. Ils ont reconnu le mariage homosexuel et certains ont légalisé l'adoption. En France, il n'y a quasiment rien de fait. Il y a bien eu la reconnaissance d'une famille de deux femmes avec trois enfants, mais il n'y a pas de mouvement juridique structuré pour faire avancer le débat. Il y a donc un gros travail à faire de ce côté là. Pour cela, il nous faudra interpeller les citoyens et les politiques.

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  • Première conférence
    internationale à Paris

    NOUVELOBS.COM | 25.10.05 | 18:06

    Homoparentalité. L'association des parents et futurs parents gays et lesbiens organise mardi et mercredi à Paris une "conférence internationale sur l'homoparentalité", avec une quarantaine de chercheurs, psychiatres, démographes ou juristes.

     (Sipa)
    (Sipa)
     
    L'association des parents et futurs parents gays et lesbiens (APGL) organise mardi 25 et mercredi 26 octobre à Paris une "conférence internationale sur l'homoparentalité", avec une quarantaine de chercheurs, psychiatres, démographes ou juristes.
    Il s'agit, selon l'association, de "faire le point sur les connaissances scientifiques" concernant les familles formées par des couples homosexuels, afin "que le rationnel remplace le préjugé et la croyance".
    43 intervenants, dont 17 venus d'Europe ou d'Amérique du Nord, sont attendus pour neuf débats. Le député (Verts) Noël Mamère sera le seul élu à intervenir.

    Peser sur le débat

    "Plus de 200 études concluent que les enfants élevés dans des familles homoparentales ne présentent ni plus ni moins de troubles que lorsqu'ils sont élevés dans une famille où sont présents les deux sexes au quotidien", plaide l'APGL, qui entend "peser sur le débat qui va s'instaurer en vue de l'élection présidentielle de 2007".
    La conférence est payante et s'adresse en particulier aux chercheurs, aux travailleurs sociaux, aux fonctionnaires et aux magistrats


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    mardi, 25 octobre 2005

     FRANCE TERRE D ASILE,,,,?????!!!!!!!
    Droit d'asile à nouveau refusé pour Anouar, homo pakistanais

    Pour la deuxième fois cette année, Anouar Aurangzeb, 27 ans, a été débouté de sa demande d'asile par l'Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides). Recherché au Pakistan par la police et par les islamistes de la Jamaah Islamiyah qui l'ont arrêté deux fois et ont tué son petit ami (lire son interview dans Têtu n° 101), Anouar avait créé et présidé la première organisation gay au Pakistan, l'Irlgo (Islamabad Rawalpindi Lesbian and Gay Organisation).
    Lors de sa dernière demande, il a apporté une nouvelle preuve du danger qu'il encourrait à revenir dans son pays, sous la forme d'un article (et de sa traduction certifiée) paru en avril 2005 dans un hebdomadaire islamiste, condamnant l'Irlgo comme une association «qui vise à égarer les musulmans». La journal a publié la photo et le nom d'Anouar, ainsi qu'un appel à témoin: «Si vous le reconnaissez, informez-nous, car [lui et les autres membres de l'Irlgo] doivent être tués publiquement sous la loi pakistanaise», affirme l'hebdomadaire. Pourtant à Paris, l'Ofpra a estimé que les éléments du dossier d'Anouar «ne permettent pas d'établir la réalité des faits invoqués et le bien-fondé des craintes alléguées en cas de retour dans son pays d'origine.» Fatigué et à court d'argent (en tant que sans-papiers, il n'a pas le droit de travailler, et peut être à tout moment raccompagné dans son pays par la police française), Anouar n'a plus que l'espoir de se présenter à nouveau devant la Commission de recours des réfugiés.


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  • mardi, 25 octobre 2005

     1 er anniiversaire

    Pink TV : un premier anniversaire et un bilan "très positif"


    25 octobre 2005 00h00. Aujourd'hui, Pink TV, la chaîne gay et lesbienne, a un an. Lancée le 25 octobre 2004, son bulletin de santé est «très positif» si l'on en croit Pierre Garnier. Le directeur marketing et communication se félicite que les objectifs fixés lors de l'inauguration soient dépassés. «Le cap des 50.000 abonnés a été atteint avant l'été, la grille de rentrée est très appréciée et les revenus publicitaires sont au dessus des prévisions», nous a-t-il déclaré.

    Au mot jeunesse, Pierre Garnier préfère celui de «modernité». Selon lui, la dernière née du câble et du satellite est devenue «le lieu où il faut être». Des programmes en clair, une grille avec de nombreuses personnalités (Marc-Olivier Fogiel, Claire Chazal, Guillaume Durand, Frédéric Mitterrand, Marianne James...), Pink TV affiche fièrement sa forme et semble avoir réussi son intronisation dans le PAF.

    En guise de cadeaux, les abonnés découvriront plusieurs nouveaux programmes. Dès le 29 octobre, la quatrième saison de «Queer as folk» et une émission de télé réalité «Garçon cherche garçon» feront irruption sur Pink.

    Cerise sur le gâteau, la chaîne organisera une grosse fête le 16 novembre. Fidèle à elle-même, Pink TV a choisi d'organiser sa première surprise partie «en grande pompe». 5.500 invités, parmi lesquels de nombreuses personnalités des médias et du monde politique, sont conviés au Grand Palais. Pour l'occasion, la magnifique voûte sera éclairée ... en rose, bien entendu !

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