• Une pétition pour les 11 Camerounais emprisonnés

    L'émission gay G-Live de la radio Ciel FM lance une pétition pour protester contre l'emprisonnement de 11 camerounais présumés homosexuels. Le jugement s'appuyerait sur une expertise médicale, selon l'équipe de l'émission. Au Cameroun, l'homosexualité est un délit passible de cinq ans de prison. Pour signer la pétition: www.petitionspot.com/petitions/gayscameroun


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    mardi, 22 novembre 2005

     rien que cela,

    Le Vatican affirme que les homosexuels actifs sont indésirables à la prêtrise




    CITE DU VATICAN (AP) -- Le Vatican affirme que les homosexuels sexuellement actifs et ceux qui soutiennent la culture gay sont indésirables à la prêtrise, sauf si le candidat a renoncé à ses tendances homosexuelles depuis au moins trois ans, selon un document de l'Eglise diffusé mardi sur Internet par une agence de presse catholique italienne.
    Ce document, attendu depuis longtemps, devrait être publié par le Vatican mardi prochain. Un ecclésiastique qui a lu le texte a confirmé l'authenticité du document diffusé sur Internet par l'agence de presse Adista. AP

     

    edifiant

     


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    http://www.childrensworld.org/wcpswe/2005/Nominerade/Sydafrika/franska/gabatshwane1.asp
          


    le lien et souvenons nous de nkossi

    neslson mandela l'homme le plus beau que la terre a porté, le plus généreux, il nous a aides nous les homos, alors qu il pourrait jouir d'une retraite bien mérite,

    ce fils de roi , est roi lui meme, roi car il a vaincu par la douceur la folie des hommes

    le destin la frappe réclament, un fils trop tot parti, mais il continue,

    je remercie

    monseigneur desmond tutu

    johnny clegg

    simple minds

    et je dois en oublier un max de gens

    portez vous bien monsieur mandéla

    jb

     


     
     

     je sais c est encore du copier /coller, mais je pense qu il faut faire partager et lire, écouter, oui j'ai biens dis écouter,

    Gabatshwane Gumede, 11
    Habite : dans le village de Letabong en Afrique du Sud avec mes frères et sœurs.
    Nous sommes orphelins.
    Chante : ses propres chansons sur le sida et sur Mandela avec le groupe Gabatshwane, afro pop et rap.
    L'argent gagné : Elle l'utilise pour des provisions pour ses camarades de classe orphelins.
    Héros : Mandela et son grand cœur. Nkosi Johnson, le garçon qui s'est battu pour les enfants atteints du sida.




    Merci pour ta magie, Madiba !
    C'est le refrain de la chanson de Gabatshwane sur Mandela, ou
    « Madiba » comme on l'appelle en Afrique du Sud. « Salut Madiba, tu m'as sauvée. Salut Madiba, tu nous as donné l'école, tu respectes nos droits. Salut Madiba, tu me donnes la fierté. Merci pour ta magie !

    Ecoute la chansons de Gabatshwane dédiée à Mandela




    Her other hero, Nkosi
    Nelson Mandela est le grand héros de Gabatshwane, mais elle en a un autre : Nkosi Johnson, le garçon qui s'est battu pour que les enfants malades du sida en Afrique du Sud, soient traités avec respect. Nkosi est mort du sida à 12 ans, le 1er juin 2001, le jour même où l'Afrique du Sud célébrait la Journée Internationale de l'Enfant. En avril 2002, des enfants répartis sur les cinq continents, ont choisi d'attribuer par un vote au niveau mondial, le Prix des Amis Universels, à Nkosi, à titre posthume (après sa mort) Il partagea également, avec Maiti, Nepal, le Prix des Enfants du Monde, attribué par le jury des enfants.
    Plus de Nkosi



    Gabatshwane chante pour Mandela

    – Merci de ta magie, chante Gabatshwane dans son chant de gratitude à Nelson Mandela.
       Elle le remercie de tout ce qu'il a fait en faveur des enfants d'Afrique du Sud. Elle le remercie pour la liberté, pour la possibilité d'aller à l'école et pour son respect des droits de l'enfant. Mais davantage encore parce qu'il l'aide, elle et les autres que le sida a rendus orphelins ou qui eux-mêmes ont le sida.
    Gabatshwane aide les pauvres du village et les camarades de classe orphelins. Elle leur achète de quoi manger avec l'argent qu'elle gagne avec son groupe.

    Un matin, la mère de Gabatshwane ne s'est pas réveillée. Gabatshwane l'a secouée mais rien n'y a fait. Gabatshwane a pensé que maman était particulièrement fatiguée. Mais son père et son grand frère Vusi ont compris qu'elle était morte dans son sommeil. Elle avait le sida.
       Une année après, c'est papa qui est mort du sida et Gabatshwane, sa sœur Zodwa et son grand frère Vusi se sont retrouvés orphelins. Personne ne pouvait s'occuper d'eux et ils ont dû se débrouiller seuls dans la petite maison familiale dans le village de Letabong dans le nord- ouest de l'Afrique du Sud.
       – Je levais les yeux au ciel et je priais maman de revenir. Elle ne répondait pas et cela me rendait très triste. Mais j'ai fini par comprendre qu'elle était toujours là, et qu'elle ne pouvait tout simplement pas me parler comme d'habitude, explique Gabatshwane.
       Après la mort de ses parents beaucoup au village craignaient qu'elle aussi soit malade et qu'elle soit contagieuse. Un test a démontré qu'elle n'avait pas le sida. Mais Gabatshwane ne trouvait toujours pas d'amis. Quand elle était petite elle était tombée dans une seille d'eau bouillante et elle en a gardé des brûlures à la jambe et au bras droits.
       – A l'école on se moquait de moi et j'étais toujours seule, dit Gabatshwane.
       Quand les autres enfants sortaient et s'amusaient, elle restait à la maison et écoutait la radio. Très vite, elle a appris les textes de toutes les chansons populaires et un jour son frère s'est aperçu qu'elle chantait très bien.

    Mandela l'embrasse
    Le grand frère Vusi a formé un groupe et l'a appelé Gabatshwane, avec Gabatshwane comme chanteuse. La première chanson était dédiée à Nelson Mandela.
       – Je voulais le remercier de tout ce qu'il avait fait pour notre pays. Sous l'apartheid c'était horrible ici en Afrique du Sud et les gens mouraient la rage au cœur, dit Gabatshwane.
       Quand Nelson entendit parler de Gabatshwane, il l'invita à chanter au cours d'un concert dans la ville du Cap. Il trouva très belle la chanson qui parlait de lui et il embrassa Gabatshwane en signe de remerciement. Depuis, il a aidé le groupe à se faire connaître et plusieurs chansons ont été enregistrées. A présent Gabatshwane se produit presque chaque week-end.
       – J'aimerais me réveiller un matin avec un coeur aussi généreux que celui de Mandela, dit Gabatshwane.
       Exactement comme Nelson Mandela elle essaie d'aider les autres enfants en difficulté. Avec l'argent qu'elle gagne, elle achète de la nourriture pour les pauvres du village. Elle apporte aussi des paquets de provisions aux camarades de classe qui sont orphelins.
       – Quand maman est morte, je me suis sentie seule au monde. Je ne veux pas que d'autres se sentent ainsi, dit Gabatshwane.

    Des chansons sur le SIDA

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    mardi, 22 novembre 2005

     

    Le paradoxal rapport de l'Onusida

    Si la prévention et l'accès aux traitements s'améliore, notamment dans certains pays parmi les plus touchés, les chiffres globaux de l'épidémie restent terrifiants • Plus de 40 millions de personnes sont porteuses du virus •

    Comme chaque année, quelques jours avant le 1er décembre, journée mondiale contre le sida, l'Onusida (1) rend public son rapport sur les derniers chiffres de l'avancée de la pandémie. Un rapport lourdement paradoxal cette année. Alors que «de nouveaux éléments indiquent que les taux d'infection au VIH chez l'adulte ont diminué dans certains pays et que des changements de comportements pour prévenir l'infection – tels que l'utilisation accrue des préservatifs, une première expérience sexuelle plus tardive et moins de partenaires sexuels – ont joué un rôle décisif», les chiffres globaux sont effrayants, confirmant que la planète est devant la plus grande catastrophe sanitaire de son histoire. Ainsi, en 2005, il n'y a jamais eu autant de nouvelles contaminations à travers le monde: plus de 5 millions. Jamais on n'a compté autant porteurs du virus: plus de 40 millions. Et en 2005, plus de 3,1 millions personnes en sont mortes, dont 500.000 enfants. Des chiffres en augmentation qui s'expliquent en grande partie par la situation en Asie.

    Commençons par les moins mauvaises nouvelles. Selon l'Onusida, «le Kenya, le Zimbabwe et certains pays de la région des Caraïbes montrent tous des diminutions de la prévalence du VIH au cours de ces dernières années, avec des taux globaux d'infection chez l'adulte en baisse au Kenya, d'un pic de 10% à la fin des années 1990 à 7% en 2003».
    Le rapport reconnaît également que l'accès au traitement du VIH s'est nettement amélioré au cours des deux dernières années. «Dans les pays à faible et moyen revenus, plus d'un million de personnes vivent désormais plus longtemps et ont une meilleure qualité de vie grâce au traitement antirétroviral, et on estime que de 250.000 à 350.000 décès ont été évités cette année grâce à l'élargissement de l'accès au traitement du VIH». D'où ces propos relativement optimistes du directeur de l'Onusida, Peter Piot. «Nous sommes encouragés par les résultats qui ont été obtenus dans certains pays et par le fait que des programmes soutenus de prévention du VIH ont joué un rôle essentiel dans la baisse des infections. Mais la réalité est que l'épidémie de sida continue à surpasser les efforts déployés pour la contenir aux niveaux mondial et national. Il est clair qu'un accroissement rapide de l'étendue et de la portée des programmes de prévention du VIH est requis de toute urgence».

    L'Afrique reste le continent le plus touché
    Quand on regarde les chiffres, continent par continent, on demeure impressionné par la variabilité de l'épidémie. L'Afrique subsaharienne reste la région la plus touchée au monde, rassemblant 25,8 millions de personnes vivant avec le VIH, soit près d'un million de plus qu'en 2003.

    En Asie, ensuite: «Les niveaux du VIH dans les pays d'Asie sont faibles par rapport à ceux de certains autres continents, notamment l'Afrique. Cependant, les populations de plusieurs pays d'Asie sont si nombreuses que même de faibles taux nationaux de prévalence du VIH signifient que le virus a entraîné environ 520.000 décès en 2005.» Les comportements à risque – souvent de plusieurs types – continuent de provoquer de graves épidémies. «Les interactions entre consommation de drogues injectables et rapports sexuels non protégés, souvent dans un cadre commercial, sont au cœur de plusieurs de ces épidémies en Asie».

    A un niveau plus faible, la situation se dégrade néanmoins de manière inquiétante en Europe orientale: le nombre de personnes vivant avec le VIH a augmenté d'un quart (passant à 1,6 million) depuis 2003, et le nombre de décès dus au sida a presque doublé au cours de la même période.

    Un déficit d'information ahurissant
    Enfin, cette année, l'Onusida pointe un défaut devenu chronique qui laisse pantois, près de 25 ans après l'émergence des premiers cas au monde, à savoir l'ignorance. Selon une enquête inédite menée aux Philippines en 2003, plus de 90% des personnes interrogées pensaient toujours que le VIH pouvait se transmettre en partageant un repas avec une personne séropositive. Autre insuffisance, le dépistage: «Dans plusieurs régions, une surveillance médiocre du VIH, notamment dans certains pays d'Amérique latine, des Caraïbes, du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, entrave les efforts de prévention et signifie souvent que les personnes les plus exposées au risque – les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes, les professionnel(le)s du sexe et les consommateurs de drogues injectables – ne sont pas couverts ou atteints de manière adéquate par les stratégies de prévention et de traitement du VIH».

    (1) agence onusienne pour mettre en commun les efforts de lutte contre le sida


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  • Notes de la rubrique "alors vais-je y arriver":
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    mardi, 22 novembre 2005

     pour la bonne cause merci
    Madonna produit un soap gay

    Séries TV - lundi 21 novembre 2005

    La société de production de Madonna prépare une série pour une chaîne américaine gay et lesbienne.


    Madonna fait encore scandale ?

    Cette fois-ci, c'est à travers sa société de production qu'elle exprime sa différence. En effet, Maverick TV – en partenariat avec MTV – prépare un soap opera pour la chaîne câblée américaine Logo.

    Intitulé San Rafael, ce drama – du genre de Melrose Place – suivra les aventures d'un groupe de voisins : gays, lesbiennes, bisexuels et transsexuels devraient être représentés dans la série. Les acteurs qui constitueront ce casting très hétéroclite n'ont pas encore été choisis.

    Si
    Queer as Folk et The L Word n'étaient pas assez provocants, San Rafael le sera assurément !


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