• Le 26 novembre 2005
    à 22h30
    Pink mobilise son antenne à l'occasion de la journée mondiale de lutte contre le Sida.
    Le samedi 26 novembre à 22h30 sera diffusé le concert MTV AIDS.
    Le dimanche 27 novembre à 20h50, Mathieu Lecerf présentera, dans «Cours chez Pink», six courts-métrages qui réinventent l'amour pour mieux vivre avec la maladie.
    Le mardi 29 novembre à 21h40, Alex Taylor animera un «Débat» sur le Sida à la suite du documentaire de Sébastien Jimenez «Didier 30 ans, écoute et entend» diffusé le même jour à 20h50.
    Enfin, le jeudi 1er décembre à 19h45, Claire Chazal et Marc-Olivier Fogiel animeront une émission spéciale d'une heure et demi, au cours de laquelle ils recevront des personnalités, des associations, des chercheurs et des malades. L'émission sera suivie à 21h20 de la diffusion du film «Les Soldats de l'espérance» de Roger Spottiswood avec Matthew Modine, qui retrace l'histoire de la découverte du virus du SIDA.

    votre commentaire
  • Notes de la rubrique "alors vais-je y arriver":
    bonjour, welcome, bienvenu, benvenito, http://groups.msn.com/vitrollesgay

    jeudi, 24 novembre 2005

     c 'est beau l'hypocrisie, et les prêtres et autres prédicateurs dits chrétiens, vous pouvez continuer a violer nos enfants sans problemes, vous avez êtes ordonnées avant la bulle, et surtout aux states et en irlande


    Notes de la rubrique "alors vais-je y arriver":
    bonjour, welcome, bienvenu, benvenito, http://groups.msn.com/vitrollesgay

    jeudi, 24 novembre 2005

     donc si j'ai bien compris, les prêtres homos deja  ordonnées peuvent forniques ans problèmes avec la bénédiction de l'archeveché.good
    Rome refuse l'ordination d'homosexuels

    Une instruction romaine demande de ne pas ordonner prêtres des candidats ayant des tendances homosexuelles profondes. À la suite de fuites, cette Instruction qui devait être publiée le 29 novembre a été connue dès mardi soir. Elle ne concerne pas les homosexuels déjà ordonnés

    Des prêtres imposent les mains sur la tête des onze nouveaux prêtres ordonnés lors d'une messe solennelle par Mgr André Vingt-Trois, archevêque de Paris, le 25 juin 2005 à la cathédrale Notre-Dame de Paris (photo Robine/AFP).


    «L'Église ne peut admettre au séminaire et aux ordres sacrés ceux qui pratiquent l'homosexualité, présentent des tendances homosexuelles profondément enracinées ou soutiennent ce qu'on appelle la culture gay. » On ne saurait être plus clair. Après dix années de tentatives infructueuses et d'essais non aboutis, l'instruction « sur les personnes présentant des tendances homosexuelles en vue de l'admission au séminaire et aux ordres sacrés », approuvée par Benoît XVI le 31 août, a été signée le 4 novembre par le cardinal Zenon Grocholewski, préfet de la Congrégation pour l'éducation catholique. Elle sera publiée par L'Osservatore Romano daté du 29 novembre, mais elle a été mise mardi soir sur Internet par une agence italienne. Du fait de cette rupture d'embargo, La Croix, qui s'était aussi procuré le texte, a donc décidé de le publier.

    L'homosexualité a toujours été un critère, parmi d'autres, pour discerner l'aptitude ou non d'un candidat à l'ordination. Critère que l'on incluait dans la catégorie de « la maturité affective et sexuelle ». Mais cette instruction va plus loin. D'une part parce qu'elle ne porte que sur l'homosexualité, et souligne donc cet aspect comme particulièrement grave. D'autre part, parce qu'elle en renforce l'application en étendant ce critère aux « personnes présen tant des tendances homosexuelles ».

    Pourquoi Rome a-t-il ressenti le besoin d'un tel rappel ? La question est « rendue plus urgente par la situation actuelle », répond l'instruction. Selon des proches du dossier, tout est parti des plaintes répétées d'évêques en visite ad limina, notamment des pays d'Amérique du Nord, qui ont découvert l'ampleur du phénomène dans leur propre presbyterium. En cause, aussi, certains séminaires, toujours en Amérique du Nord, « quasi spécialisés dans le recrutement de personnes homosexuelles, avec des phénomènes de cooptation ». Les scandales en Autriche du séminaire de Sankt-Pölten en 2004, qui a dû fermer, et en Pologne de l'archevêque de Poznan, en 2002, accusé de harcèlement sexuel sur les séminaristes, ont accéléré le processus. « Dans un contexte de raréfaction des candidats, on a parfois considéré l'homosexualité comme une manière de surmonter le célibat demandé aux prêtres » note encore un responsable d'une congrégation religieuse à Rome. De ce point de vue, l'instruction aurait un caractère prudentiel, visant à éviter des situations difficiles à gérer dans l'avenir. Enfin, dans le contexte de société occidentale où l'homosexualité est reconnue, banalisée, et parfois institutionnalisée au même titre que l'hétérosexualité, les évêques auraient ressenti le besoin d'un texte du magistère, pour les aider dans leur responsabilité.</parag />

    Rome franchit une nouvelle étape

    Avec cette instruction, Rome franchit une nouvelle étape. Jusqu'ici, l'Église recommandait « en ce qui concerne l'homosexualité, d'écarter non pas ceux qui ont cette tendance mais ceux qui ne parviendraient pas à maîtriser ces tendances ». Même si elle précisait : « Le verbe maîtriser doit être compris au sens plénier, non pas simplement comme effort de la volonté, mais avec la liberté progressive à l'égard des tendances elles-mêmes, dans le cœur et en esprit, au niveau de la volonté et des désirs » (documents de 1998 et 1990).

    Cette fois, la nouvelle instruction vise aussi ceux qui présentent des tendances homosexuelles « profondément enracinées ». Et, dans le cas de tendances homosexuelles « simplement expression d'un problème transitoire », « elles doivent de toute façon être plus clairement dépassées au moins trois ans avant l'ordination diaconale ». Mgr Tony Anatrella, consulteur des conseils pontificaux pour la famille et la santé, commente : « Il faut se libérer de l'idée qui consiste à croire que dans la mesure où un homosexuel respecte son engagement dans la continence vécue dans la chasteté, il ne posera pas de problèmes, et pourrait donc être ordonné prêtre. » Pour l'instruction en effet « ces personnes se trouvent dans la situation qui fait gravement obstacle à une juste relation avec des hommes et des femmes », et le texte évoque les « conséquences négatives » qui peuvent en découler. Une affirmation lourde de conséquences même si le document parle aussi du « respect et de la délicatesse » avec lesquelles l'Église doit accueillir les homosexuels.

    Le texte établit ensuite un lien entre paternité spirituelle et hétérosexualité : le prêtre « représente sacramentellement le Christ, Tête, Pasteur et Époux de l'Église », il doit donc atteindre « la maturité affective », qui le rendra capable de « relations justes avec les hommes et les femmes en développant en lui un véritable sens de la paternité spirituelle vis-à-vis de la communauté ecclésiale qui lui sera confiée ».</parag />

    L'instruction ne laisse pas le choix

    Au plan théologique, l'instruction rappelle la définition de l'homosexualité dans le Catéchisme de l'Église catholique : péché grave, et celle des actes homosexuels : actes « intrinsèquement immoraux et contraires à la loi naturelle ». Quant aux « tendances homosexuelles, profondément enracinées, « elles sont objectivement désordonnées, et souvent constituent une épreuve pour ces personnes ». L'instruction reprend enfin la distinction classique entre l'accueil de ces personnes à tendances homosexuelles et l'accès au sacerdoce : ce dernier n'est pas un droit, et « il appartient à l'Église de discerner l'idonéité de celui qui désire entrer au séminaire ».

    Dans l'esprit de Rome, il s'agit d'un texte de « nature normative ». L'instruction ne laisse donc pas le choix : l'évêque ou le supérieur majeur, qui, après avis de ceux qui ont la responsabilité de la formation, ont un doute sérieux sur ce point, « ne doivent pas admettre le séminariste à l'ordination ». De même, mis en courant, et même tenus par le secret, le directeur spirituel ou le confesseur « ont le devoir de le dissuader, en conscience, d'avancer vers l'ordination ». Une fermeté qui n'est pas sans risque pour les prêtres eux-mêmes. Dans la lettre, transmise par le nonce à chaque évêque pour l'accompagner, le cardinal Grocholewski prend bien soin de préciser que ce texte ne concerne que les futurs prêtres : « L'instruction ne remet pas en cause la validité de l'ordination et la situation des prêtres qui de fait ont été ordonnés en ayant des tendances homosexuelles. »

    Isabelle de GAULMYN, à Rome </parag />

    ***</parag />

    Repères

    Lettre à l'épiscopat
    de la Sacrée Congrégation des séminaires (1960)

    «On n'évitera pas seulement toute espèce de laxisme, mais encore on se gardera d'accueillir toute autre tendance ou tout système de morale qui s'écarterait de la ligne indiquée, surtout quand il s'agit d'émettre un jugement définitif sur l'idonéité à supporter les obligations du célibat ecclésiastique.»

    «Persona humana»
    Déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi (1975)

    «Selon l'ordre moral objectif, les relations homosexuelles sont des actes dépourvus de leur règle essentielle et indispensable. Elles sont condamnées dans la Sainte Écriture comme de graves dépravations et présentées même comme la triste conséquence d'un refus de Dieu. Ce jugement de l'Écriture ne permet pas de conclure que tous ceux qui souffrent de cette anomalie en sont personnellement responsables, mais il atteste que les actes d'homosexualité sont intrinsèquement désordonnés et qu'ils ne peuvent en aucun cas recevoir quelque approbation.»

    «Le Catéchisme de l'Église catholique» (1992)

    N° 2357. «La Tradition a toujours déclaré que “les actes d'homosexualité sont intrinsèquement désordonnés”. Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l'acte sexuel au don de la vie. Ils ne procèdent pas d'une complémentarité affective et sexuelle véritable. Ils ne sauraient recevoir d'approbation en aucun cas.»

    N° 2358. «Un nombre non négligeable d'hommes et de femmes présente des tendances homosexuelles foncières. Cette propension, objectivement désordonnée, constitue pour la plupart d'entre eux une épreuve. Ils doivent être accueillis avec respect, compassion et délicatesse. On évitera à leur égard toute marque de discrimination injuste.»

    «La Formation des futurs prêtres»
    Texte de la Conférence des évêques de France (1998)


    «On rappellera que celui qui présente des tendances homosexuelles foncières a sa place dans les communautés chrétiennes où il doit trouver accueil et respect. Mais il ne sera pas appelé au ministère ordonné et devra en conscience orienter sa vie autrement.»</parag />


    votre commentaire
  • chercher pas , cela se passe en France,
    Homophobie dans le courrier des lecteurs de «Presse Océan»

    «À l'heure où l'on fait la promotion de toutes sortes d'unions contre-nature, il nous paraît important de rappeler que le mariage est l'union d'un homme et d'une femme.» Ainsi s'exprime l'abbé Pierpaolo Maria Petrucci, du prieuré Saint-Louis de la Fraternité Saint-Pie X, dans le courrier des lecteurs du quotidien Presse Océan du mercredi 23 novembre. Il s'agit pour le curé intégriste de dénoncer la première cérémonie de Pacs qui doit être célébrée en mairie de Nantes, le 3 décembre (lire Têtu n°106). «[Ce courrier] reflète l'avis de l'un de nos lecteurs et ne nous a pas semblé homophobe», se défend Pierre-Marie Heriaud, responsable de la locale du quotidien nantais


    votre commentaire
  • bonjour, welcome, bienvenu, benvenito, http://groups.msn.com/vitrollesgay
    jeudi, 24 novembre 2005

     
    VATICAN

    Un texte contre l'ordination
    des homosexuels



    Une instruction du Vatican visant à empêcher les homosexuels de devenir prêtres a été diffusée avant sa publication par une agence catholique contestataire.

     Le pape Benoît XVI (AP)
    Le pape Benoît XVI 
     
    L e site internet de l'agence catholique contestataire Adista a publié, mercredi 23 novembre, l'instruction du Vatican destinée à empêcher les homosexuels de devenir prêtres, une semaine avant sa publication programmée.
    Selon cette instruction, l'Eglise "ne peut admettre au séminaire et aux ordres sacrés ceux qui pratiquent l'homosexualité, présentent des tendances homosexuelles profondément enracinées ou soutiennent ce qu'on appelle la 'culture gay'". De larges extraits avaient déjà été publiés dans la presse italienne.
    Ce texte, approuvé par le pape Benoît XVI le 31 août, a été adressé la semaine dernière aux évêques et responsables de séminaires du monde entier.
    Il devait être publié par l'Osservatore Romano, l'organe de presse du Vatican, le 29 novembre.

    "Des péchés graves"

    Le document souligne que si les homosexuels ont droit au "respect", l'Eglise considère les "actes" homosexuels comme des "péchés graves", et dans tous les cas l'homosexualité comme un "désordre".
    Pour le Vatican, les homosexuels ne peuvent pas être ordonnés prêtres car "ils se trouvent dans une situation qui fait obstacle à une relation juste avec des hommes et des femmes".<script language="JavaScript"></script>

    Il évoque également, sans plus de précision, "les conséquences négatives qui peuvent découler de l'ordination de personnes présentant des tendances homosexuelles profondément enracinées".
    Plusieurs Eglises, notamment aux Etats-Unis, ont été récemment secouées par des scandales sexuels.
    Le texte souligne que l'ordination n'est pas "un droit" et ajoute à l'intention des séminaristes qu'il "serait extrêmement malhonnête qu'un candidat cache son homosexualité" pour être ordonné prêtre.

    Ligne constante de l'Eglise catholique

    Si l'homosexualité n'a été qu'un "problème transitoire" pour des jeunes hommes à peine sortis de l'adolescence sans concerner leur personnalité profonde, il leur est demandé de l'avoir "dépassé" depuis trois ans avant de demander à être ordonné diacre, l'étape précédant l'ordination en tant que prêtre.
    Le document, qui a été en chantier pendant de longues années, a été rédigé par la congrégation pour l'éducation catholique (le service du Vatican chargé des séminaires), en accord avec la congrégation pour le culte divin.
    Il réaffirme en l'actualisant une ligne constante de l'Eglise catholique, qui est de refuser l'accès à la prêtrise de ceux que l'on appelait autrefois les "sodomites". Le dernier texte sur ce sujet remonte à 1961.
    L'instruction du Vatican ne concerne cependant que les séminaristes, c'est-à-dire les candidats à la prêtrise, et pas les prêtres déjà ordonnés


    votre commentaire
  • Notes de la rubrique "alors vais-je y arriver":
    bonjour, welcome, bienvenu, benvenito, http://groups.msn.com/vitrollesgay

    mercredi, 23 novembre 2005

     

    http://www.libelutte.org/

     

    un site pour débattre, parler , échanger, pour lutter,

     

    mais ou est l'esprit libe des années 70.80

     


    votre commentaire