• L'actualité

     

    Copé condamne les propos homophobes de Vanneste

     

    A l’occasion de son déplacement dans le Nord, Jean-François COPÉ -Ministre Délégué au Budget et Porte Parole du Gouvernement- a désapprouvé les propos homophobes de Christian VANNESTE -Député du Nord- dans une interview accordée mercredi 31 mai à La Voix du Nord.

    Dans la perspective de ce déplacement, GayLib était intervenu auprès du Ministre dont nous connaissons l’engagement contre les discriminations notamment homophobes. Nous saluons donc ses propos lorsqu’il déclare  : « tout doit être fait pour que chacun se respecte dans notre société et je ne me reconnais pas dans les propos qui stigmatisent. Je comprends très bien que les propos homophobes qui ont été tenus aient pu blesser profondément et je les désapprouve totalement ».

    GayLib se réjouit de l’isolement de Christian VANNESTE au sein de notre famille politique dont il ne partage pas les valeurs et qui a été condamné par la Justice pour injures et diffamations publiques. Ceci pose clairement la question de son avenir au sein de notre famille politique pour laquelle il est un boulet.

     


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  • Nicolas Sarkozy a ironisé, jeudi 1er juin, sur les propos de Ségolène Royal relatifs à la délinquance et l'a remerciée pour ce "soutien de poids". "Décidément, M. Blair est enfoncé et je suis persuadé qu'elle nous réservera de nouvelles surprises", a déclaré le ministre de l'intérieur.

    "Félicitations Mme Royal, vous êtes sur le bon chemin !"
    , a-t-il lancé à son arrivée à Perpignan. Le ministre s'est démarqué de la proposition de la candidate à l'investiture socialiste pour la présidentielle de 2007 d'encadrer militairement les jeunes délinquants."Je suis parfois un peu étonné des propositions qu'elle fait. Si l'avenir des jeunes c'est d'être pris en mains par l'armée, pourquoi pas. Mais je ne le pense pas", a-t-il estimé.

     

    Le président de l'UMP a même attaqué Ségolène Royal frontalement, pour la première fois : "si on pense que la solution aux problèmes c'est de tenir des propos aussi incompétents, c'est son choix". "J'observe qu'elle trouve que je ne suis pas assez ferme mais elle n'a voté aucun de mes projets, de mes mesures, de mes budgets. Si elle me demande d'être plus ferme, qu'elle dise à ses amis de me soutenir. Ils ne seront pas déçus", a raillé le ministre de l'intérieur.

    Le probable candidat à la présidentielle ne rejette en tous cas "aucun soutien". "Si elle veut me soutenir, elle est bienvenue au club", a-t-il lancé aux journalistes.

    Les responsables de l'UMP ont été nombreux à réagir, souvent ironiquement. Le député Yves Jego, proche de Nicolas Sarkozy, a estimé, sur le site de Libération, qu'il s'agissait d'"un virage à droite, manifeste et brutal". Il entend souligner les contradictions de la présidente de la région Poitou-Charentes : "concernant les centres d'éducation fermés (...), Ségolène Royal avait dit : 'On ne peut pas les traiter comme cela'. Aujourd'hui, avec l'encadrement militaire, elle va bien au-delà !". "Il faut lui proposer une carte à l'UMP", a-t-il lancé, railleur.

    Le député-maire du Raincy, Eric Raoult, a qualifié de "socialo-réacs" les propositions de Mme Royal."Mettre l'armée autour des jeunes, supprimer les allocations familiales : quand Sarkozy le dit, c'est terrible, quand Ségolène Royal le dit, c'est acceptable", a-t-il dit sur France 2. Le député UMP Georges Fenech s'est félicité de voir que Ségolène Royal "marque soudainement une rupture avec l'angélisme socialisme à toute épreuve".


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  • Sarkozy demande
    le soutien de Royal

    La seconde dénonce le "fiasco" de la politique sécuritaire du premier, qui répond : "Si elle me demande d'être plus ferme, qu'elle dise à ses amis de me soutenir".

     
    I nterrogé sur les positions de Ségolène Royal en matière de sécurité, accusant Nicolas Sarkozy d'être inefficace, le ministre de l'Intérieur a réagi jeudi 1er mai en maniant l'ironie. "C'est un soutien de poids que j'apprécie. Décidément, M. Blair est enfoncé et je suis persuadé qu'elle nous réservera de nouvelles surprises", a déclaré le ministre de l'Intérieur.
    "Félicitations Mme Royal, vous êtes sur le bon chemin !", a-t-il ajouté à son arrivée à Perpignan, où il devait visiter plusieurs quartiers sensibles.
    Nicolas Sarkozy s'est démarqué de la proposition de la présidentiable socialiste d'encadrer militairement les jeunes délinquants. "Je suis parfois un peu étonné des propositions qu'elle fait. Si l'avenir des jeunes c'est d'être pris en mains par l'armée, pourquoi pas. Mais je ne le pense pas", a-t-il estimé. "Si on pense que la solution aux problèmes c'est de tenir des propos aussi incompétents, c'est son choix".
    "J'observe qu'elle trouve que je ne suis pas assez ferme mais elle n'a voté aucun de mes projets, de mes mesures, de mes budgets. Si elle me demande d'être plus ferme, qu'elle dise à ses amis de me soutenir.
     
     

    Ils ne seront pas déçus", a raillé le ministre de l'Intérieur.

    Royal: "Il faut une reprise en main lourde!"

    Ségolène Royal avait, mercredi, dénoncé la "faillite absolue" de la politique de sécurité menée par Nicolas Sarkozy. La présidentiable socialiste s'est engagée à mener "une politique beaucoup plus ferme" avec des "solutions massives" pour "rétablir un ordre juste". Parmi ses pistes, un "placement d'office dans un service à encadrement militaire" pour les jeunes ou des "stages" pour parents défaillants.
    En visite à Bondy en Seine-Saint-Denis, département où des incidents ont éclaté lundi et mardi soirs à Montfermeil et Clichy-sous-Bois, elle a dressé un réquisitoire implacable de l'action de Nicolas Sarkozy. "L'échec de la politique de sécurité est flagrant", "c'est une faillite absolue" a-t-elle lancé, accusant son rival putatif pour 2007 d'être un "facteur de troubles", "de désordre" et "d'inefficacité politique". "On est dans un système de production massive de délinquance", "il faut une reprise en main lourde!"
    Lisant posément ses notes, Ségolène Royal a préconisé "une autre politique beaucoup plus ferme".
    "C'est possible de vivre dans un pays où les gens cessent d'avoir peur les uns des autres", "il est temps de mettre en place une politique de sécurité efficace pour rétablir un ordre juste et une sécurité durable si chacun est à son poste et remplit sa fonction, de la famille en passant par l'école jusqu'aux services publics et jusqu'au rôle de la police".

    Stages de parents

    La présidentiable socialiste a donc préconisé des "solutions massives adaptées à chaque âge" et une "approche globale" d'une grande fermeté basée sur la tolérance zéro. Un discours très éloigné de l'angélisme dont le PS a longtemps été accusé dans le domaine de la sécurité. "Longtemps la gauche l'a minimisé", a-t-elle reconnu.
    Prenant le problème à la racine, elle a proposé que dès l'école primaire les parents soient contraints à des "stages" dans des "écoles de parents" dès le "premier acte d'incivilité" de leur enfant. Quant aux "perturbateurs qui pourrissent la vie" d'un collège, ils seront placés "d'office dans des internats-relais". Ils sont "en échec, mais il n'y a pas de place pour la commisération".
    De plus, "il faut créer le métier de 'tuteur de collège' pour faire faire du sport" à ces "perturbateurs". Quant à la présence de policiers au collège, "ce n'est pas leur place", a-t-elle jugé. Les collèges seraient en outre limités à 400 ou 500 élèves maximum.
    Pour les jeunes de plus de 16 ans, elle a proposé qu'au "premier acte de délinquance" ils soient placés "d'office dans un service à encadrement militaire à vocation humanitaire ou pour apprendre un métier". Cela leur fera "connaître le vaste monde et la chance qu'ils ont de vivre en France", a-t-elle souligné, jugeant que "la suppression du service militaire a été une erreur".
    "C'est une approche globale", a-t-elle insisté. "Tout se tient si chacun est à sa place, dans son rôle, avec ses responsabilités éducatives, avec des métiers qui correspondent aux besoins des jeunes. A ce moment-là, la police pourra se concentrer sur la lutte contre la grande délinquance", a affirmé la candidate anti-Sarkozy.

    "Provocation"

    Ségolène Royal était entourée des maires socialistes de Bondy Gilbert Roger et de Clichy-sous-Bois Claude Dilain.
    Ce dernier a mis en doute l'efficacité des mesures prises par Nicolas Sarkozy suite aux incidents survenus dans sa ville. "On ne va pas mettre plusieurs centaines de CRS tous les soirs", "ça ne me paraît pas d'une grande efficacité" et la population "vit ça comme une provocation", a-t-il estimé, demandant à être reçu par le ministre de l'Intérieur.
    Ce déplacement aura été l'occasion pour "Ségolène" de recevoir les compliments appuyés de la députée PS de Seine-Saint-Denis Elisabeth Guigou. "Tu es aujourd'hui la plus populaire des socialistes et même la plus populaire des personnalités politiques françaises et je dis que c'est une chance pour le PS et une très bonne chose pour toutes les femmes", a-t-elle salué. Jusqu'à Roland Dumas, un des gardiens du temple mitterrandien, qui s'est discrètement invité au discours de l'apprentie-candidate. (Avec AP)


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  • Bernard Campan amoureux de Charles Berling

    Tournages - mercredi 20 avril 2005

    Bernard Campan trouvera "L'Homme de sa vie" en la personne de Charles Berling dans le nouveau long métrage de Zabou Breitman, une comédie dramatique sur l'homosexualité.



    Après s'être amouraché de Monica Bellucci dans Combien tu m'aimes ?, à l'affiche le 26 octobre prochain, Bernard Campan s'entichera... de Charles Berling pour les besoins du prochain long métrage de Zabou Breitman, L'Homme de sa vie. Ce film coécrit par celle-ci et la scénariste Agnès De Sacy marquera la seconde collaboration de l'actrice-réalisatrice avec l'ancien Inconnu, tous deux ayant travaillé ensemble sur Se souvenir des belles choses en 2001.

    Léa Drucker au casting

    Produite et distribuée par la société Pan Européenne, cette comédie dramatique racontera tout simplement l'histoire d'un homme (
    Bernard Campan) qui tombe amoureux d'un autre homme (Charles Berling). Les deux acteurs seront rejoints au casting par Léa Drucker, qui incarnera la femme de l'un d'eux. Le tournage débutera le 30 mai prochain dans la région Rhône-Alpes.


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