•  
    je regardes en boucles cette emission
     
    c est trop ouf
     
    les mecs , les meufs sont trop natures, et le decors c est totale tele poubelle
     
    et jerry ki donnes a  la fin a chaque fois sa pensée du jour
     
     
    en coonculuant invariablement
     
    proteger vous
    proteger nous
     
    alors comme tableau
    il peut y avoir des pd, les lesbienes, des pd ki virent leurs cuties, ou les meufs idem, le publique participe activement a ce sohw
     
    bon c est a prendre au sous sol
     
    mais quelle joie,
     
    defois cela me rapelles de caunes du temps de canal quant il faisait langue d epute ou autrre
     
    et jerry pour son age il se porte bien
     
    mais toujours a la limite des limites
     
    si vous avez AB3 OU AB1    ALLEZ Y
    a coté RTL 9 avec son emission ca va s asavoir est une pale copie
     
    meme si l'on sait que c est truqué, on se prends d'empathie pour ces personnages
     
    car  ce sont des gens basic, pas des tops model, non des bon gros bofs, de jeunes pd bouffis, ou des lascards biens goles, quant aux meufs ...........
     
     
    a voir
     
    merci jerry
     
    ca vaut bien une emission politique ou le "journaliste sert la soupe
    koi mazerolle,,,??
     

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  • Envoyé : 15/03/2004 22:52

    > 
    Bordeaux : Juppé l'anti-gay

      
     
    Le député-maire de la ville (toujours président de l'UMP) a décidé de mettre fin au soutien de la ville au festival de films LGBT de Bordeaux.

    Apprenant par une question d'un élu qu'une structure municipale participait de fait au festival de films LGBT de sa ville par le relais d'informations sur les activités du festival dans des bibliothèques, Alain Juppé a décidé de mettre fin à ces soutiens.

    L'intervention d'un élu lors du conseil municipal du 1er mars au sujet de la "Quinzaine de Cinéma Lesbien Gay Bi Trans" a déclenché une enquête interne dans les services municipaux qui a eu pour résultat de déboucher sur une série de mesures qui sapent le festival.

    A savoir : l'annulation par la Mairie de Bordeaux des programmations prévues dans les bibliothèques du Grand Parc et de la Bastide, au motif officiel que ces lieux ne seraient plus aptes à recevoir du public dans des conditions de sécurité satisfaisantes, l'annulation par la même Mairie de Bordeaux du débat sur la question de l'homoparentalité prévu à la bibliothèque de Mériadeck le 27 mars au motif officiel que des débats politiques ne peuvent avoir lieu dans des locaux municipaux, la suppression de la communication liée à la quinzaine sur le site internet de la mairie de Bordeaux.

    Bref, le festival LGBT de Bordeaux ne peut plus avoir lieu dans les condtions dans lesquelles il était prévu. D'autant que celui-ci doit avoir lieu du 15 au 30 mars, c'est-à –dire à une date qui ne permet pas aux organisateurs de réagir.

    La Lesbian & Gay Pride Bordeaux s'indigne de ces mesures et rappelle la qualité du travail effectué par le festival depuis cinq ans dans les lieux culturels de la ville (cinémas, bibliothèque, galeries) pour y présenter des œuvres cinématographiques de qualité et des documentaires "dans une volonté d'ouverture,
    d'expression des minorités sexuelles et de dialogue".

    Cette nouvelle restriction de toute forme de soutien de la ville à la communauté gay de Bordeaux est à rapprocher de la suppression récente de la subvention de la municipalité à la Maison de l'Homosocialité qui avait contribué à sa fermeture l'an passé.

    Mis en ligne le 15/03/04

     

    après avoir mis gravement en cause le fonctionement de la justice francaise, en

    1

    comentant une decision de justice ce qui est condamnable

    2

    en laissant entendre que les magistrats du tribunal de nanterre n'etaient pas de bons juges et que l'affaire n'etaient pas jugées puisqu il se pourvoi en appel, donc la sanction est peanuts.

     

    juppe s en prends aux pd

     

    allez voter


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  • slt

    question idiote

    est tu gay

    merci

    question subsidiaire

    libertaire?

    MERCI

    JB


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  • Que l'on s'intéresse ou non à la "vie de la cité" (politique), elle nous concerne au sens où c'est elle qui règle la vie quotidienne.

    Le conseil général (élections cantonales), renouvelable par tiers, agit :
    pour l'aménagement de l'espace et l'équipement (routes départementales ; transports collectifs de personnes et des scolaires ; ports maritimes de commerce et de pêche ; environnement ; gestion et protection de la forêt) ;
    pour l'action sociale (à l'enfance et à la famille ; aux handicapés ; aux personnes en difficulté avec notamment l'insertion professionnelle ; aux personnes âgées ; aide médicale) ;
    pour la culture et l'enseignement (financement de la construction des collèges, des équipements pédagogiques et leurs dépenses de fonctionnement ; fonctionnement des IUFM (Institut Universitaire de Formation des Maîtres) des bibliothèques, des archives du département ; lutte contre l'échec scolaire des dispositifs de soutien pédagogique pour les élèves en difficulté ; aide pour favoriser l'accès à la demi-pension, ainsi que des bourses départementales pour les familles à faible revenu ; soutien aux clubs et comités sportifs) ;
    pour les actions économiques (économie en zone rurale ; aide aux entreprises).

    Le conseil régional agit :
    pour l'aménagement du territoire et la planification (transports collectifs - développement du TGV, des TER, incitation au ferroutage ; nouvelles technologies de communication : rendre le haut débit accessible à tous ; aménagement du territoire - assurer un maillage du territoire régional, préserver de manière active l'environnement) ;
    pour la formation (construction, rénovation et équipement des lycées, des centres de formation professionnelle et de l'apprentissage ; formation professionnelle initiale des jeunes de 16 à 26 ans et de l'apprentissage ; financement d'une part significative des établissements universitaires) ;
    pour l'action économique (aides directes et indirectes).


    Alors les 21 et 28 mars 2004, VOTONS !




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  •  
    les huissiers ainsi que les commissaires de police vont pouvoir foutre dehors et encaisser les dividandes ainsi que leur cachet
     
    l'huissier pour signifier un acte et  toucher au passage  sa dime
     
    le commissaire  ou ses adjoints pour assurer la force et la loi du bon peuple francais devant une famille apeurée bien souvent..
     
    jb
     
    tetieresociete
    Aujourd'hui sonne la fin de la trêve hivernale qui interdit que des familles soient jetées dehors. Les travailleurs sociaux sont indignés et submergés.
    Expulsions, c'est la saison
    Par Tonino SERAFINI

    lundi 15 mars 2004


     
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    «Il est déjà arrivé que des gens soient renvoyés dans la cabine téléphonique d'en bas pour qu'ils appellent le 115.» Augusta Epanya, assistante sociale à Paris
     

    «Intolérable». Ce mot revient souvent dans le propos des travailleurs sociaux qui ont défilé samedi à Paris pour protester contre la reprise des expulsions locatives à partir d'aujourd'hui (lire ci-contre). Le 15 mars, date de la fin de la trêve hivernale, est un moment «traumatisant», «violent», «éprouvant», «angoissant» pour «des familles déjà très fragiles», témoigne Fadila Derraz, assistante sociale dans le XXe arrondissement à Paris. «Normalement, on a un mandat de protection de la famille. Mais nous ne sommes plus en mesure d'apporter des réponses appropriées aux situations les plus intolérables. On est complètement submergé par l'exclusion rampante», dit-elle, dépitée. Fadila Derraz fait partie de ces travailleurs sociaux qui ont décidé de se constituer en collectifs. Pour avertir les pouvoir publics. Prévenir l'opinion. «Lors des expulsions, en se démenant, on arrive à trouver aux familles un hébergement en hôtel. Au début, les gens sont soulagés parce qu'ils ne vont pas dormir dehors. Mais c'est le début de leur précarité. D'une vie au jour le jour pour toute la famille.»

    Pansement. Marie Hemar, également assistante sociale à Paris, se définit comme «le témoin direct d'une société qui va mal» : «On est dans une spirale infernale de paupérisation des plus faibles. On fait du palliatif. Du pansement. Mais on a beau mettre un pansement sur une gangrène, ça ne guérit rien.» Augusta Epanya, assistante sociale à Bobigny (Seine-Saint-Denis), raconte qu'il arrive que les travailleurs sociaux ne parviennent même plus à trouver de solutions dans des contextes d'urgence extrême. «Parfois on a des personnes dans nos bureaux avec leurs valises. Ils viennent d'être virés de chez eux. On passe l'après-midi à chercher un hébergement. Mais, à 19 heures, quand on doit fermer, on n'a rien à proposer. Il est déjà arrivé que des gens soient renvoyés dans la cabine téléphonique d'en bas pour qu'ils appellent le 115», s'indigne-t-elle. Outre «une atteinte intolérable à [leur] déontologie», ces situations provoquent chez les travailleurs sociaux des «sentiments de culpabilité». «La base de notre travail c'est un engagement contre l'injustice la plus criante. Or, là, on assiste à une maltraitance d'une rare violence», affirme Isma Zalambani, assistante sociale à Pantin.

    Récemment, des collectifs ont été auditionnés par des élus du conseil général de Seine-Saint-Denis, par le président de la région, Jean-Paul Huchon, et par les cabinets de Dominique Versini, secrétaire d'Etat chargée de la Lutte contre l'exclusion, et de Gilles de Robien, ministre du Logement. Mais sans résultat. Face à leur cri de colère, les seules initiatives sont locales. Ainsi, le maire de Bobigny, Bernard Birsinger (PCF), a pris «un arrêté municipal déclarant Bobigny "zone hors expulsion locative"». Dans un communiqué publié vendredi, la municipalité explique qu'elle rejette cette «pratique inhumaine qui ne fait que précipiter des hommes, des femmes, des enfants en souffrance dans la spirale de la grande exclusion». La mesure est plutôt symbolique, puisque les expulsions découlent de jugements rendus par les tribunaux et d'interventions de la police décidées par les préfets. Mais l'initiative est remarquable parce qu'elle participe au moins à l'émergence d'une prise de conscience.

    Crise du logement. «Maintenant, notre travail touche de plus en plus au logement : quatre rendez-vous sur cinq relèvent de problèmes relatifs à des expulsions, à de la suroccupation ou de l'insalubrité. Le rôle d'éducation, de conseil, de l'assistante sociale est vampirisé par la recherche d'un abri d'urgence», témoigne Yasmine Kaci, assistante sociale à Noisy-le-Sec. Face à une crise du logement aiguë, les expulsions apparaissent comme «une violence absurde et de surcroît coûteuse». Contraintes de rendre les clés, des familles en difficulté sont ensuite hébergées à l'hôtel à des coûts prohibitifs pour la collectivité. «Ça coûterait cinq à six fois moins de les maintenir dans leur appartement», dénoncent en choeur les assistantes sociales. Samedi, à la manifestation, elles brandissaient une immense banderole blanche sur laquelle on pouvait lire : «Les travailleurs sociaux pour le droit au logement pour tous.» Avec des lettres rouges «pour symboliser la colère» et vertes «en guise d'espoir


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