• 2 institutrices censurés pour avoir voulues faire chanter des enfants une chanson de diams

    la boulette , generation nan, nan

     

    et je me souviens que sur canal + ségolene royal a annoncé sa cadidature a la candidature du ps,  sur cette chanson et avec le bras de jamel debouzze

     

    diam's et jamel ne sont pas rebelles, enconre une connerie et la demagogie du recteur de l'accademie qui a 'deplacée ces 2  institurices.

    jb


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  • Première victoire pour les homosexuels en Pologne

    Malgré les pressions, la Parade de l'égalité a eu lieu sans heurts à Varsovie

    «Cette fois-ci, on a gagné, se réjouit Robert Biedron, président de la Campagne contre l'homophobie. C'est la première parade depuis longtemps où il n'y a pas eu d'agression et où l'ambiance était détendue.» Malgré des pressions de l'extrême droite pour la faire interdire, la Parade de l'égalité s'est déroulée samedi à Varsovie sans incidents, hormis quelques oeufs lancés contre les manifestants.

    Drag-queens. En tête du cortège de plus de 3 000 personnes, pour la première fois, deux drag-queens venues de Chicago ont défilé dans la rue Marszalkowska, le long du Palais de la culture, axe traditionnel à l'époque communiste des défilés ouvriers du 1er Mai. Les gays polonais craignent encore de choquer en s'habillant avec extravagance et se contentent des drapeaux arc-en-ciel du mouvement. «On veut montrer qu'on n'est pas des criminels ou des déviants, expliquent Maja, 26 ans, et Aneta, 30, en couple depuis bientôt deux ans ; on ne veut pas être montrées du doigt quand on marche main dans la main dans la rue.»

    Peu avant la parade, une centaine de jeunes militants chrétiens avaient défilé dans une rue parallèle, scandant que l'homosexualité était «un péché». Pour éviter les heurts, un important dispositif de sécurité avait été déployé : 2 000 policiers, un hélicoptère, des caméras et des chiens policiers. «Si la marche s'est tenue dans le calme, estime Biedron, c'est grâce à la présence de nombreuses personnalités de l'étranger, surtout d'Allemagne.» Près de 1 millier d'Allemands, Français, Suédois, Américains et Italiens étaient venus soutenir les gays polonais. «Le gouvernement ne pouvait se permettre un scandale sur la scène internationale, poursuit-il. Des skins polonais attaquant des gays allemands, ç'aurait été trop.»

    En 2004 et 2005, le maire de Varsovie, Lech Kaczynski, l'actuel président qui ne cache pas ses positions homophobes, avait interdit les marches. Malgré cela, plusieurs milliers de manifestants avaient défilé. «Ces interdictions nous ont en fait profité, souligne Aneta. C'est grâce à ça que le monde a entendu notre voix.»

    Jusqu'au bout, le ministre de l'Education, Roman Giertych, leader de la Ligue des familles polonaises (LPR, extrême droite), a tenté d'obtenir l'interdiction : «C'est une grave erreur de l'actuel maire que de n'avoir pas eu le courage de s'opposer au mal.» Pour décourager à l'avance les manifestants, les jeunesses de la LPR ont annoncé leur propre marche. Mais «quand la ville a modifié les trajets de sorte que les marches ne se croisent plus, comme le voulait l'extrême droite, souligne Biedron, les jeunes n'avaient plus de raisons de manifester, leur but est toujours la confrontation et la bagarre.» Officiellement, ils ont annulé en raison de la Coupe du monde de football.

    «Eurosodomie». Les skins qui ont tenté de provoquer des bagarres, samedi, ont aussitôt été interpellés. La «guerre» s'est cantonnée au niveau des insultes et des affiches : «Halte à l'eurosodomie !», «Non à l'UE !» Les gays ont répondu par des allusions au frère du Président, Jaroslaw Kaczynski, chef du parti Droit et Justice (au pouvoir), qui vit toujours avec sa mère. «Président Kaczynski, ton frère aussi est gay.»

    «Nous reviendrons chaque fois que ce sera nécessaire pour défendre les droits civils», a lancé, à la fin de la parade, la présidente des Verts allemands, Claudia Roth. Elle est venue à Varsovie avec l'ancienne ministre allemande de l'Agriculture, Renate Künast, et Volker Beck, un député allemand agressé le 27 mai lors d'une Gay Pride interdite à Moscou. «La Pologne est membre de l'Union européenne. Nous devons soutenir les Polonais, pour que les gens puissent exprimer avec fierté leur sexualité», explique Neubert Aron, 38 ans, Berlinois venu à Varsovie avec son partenaire, brandissant un grand drapeau européen. «Ce n'est pas encore une marche festive, c'est une marche revendicative pour obtenir une place dans la société, souligne, de son côté, Stéphane Corbin, président d'Interpride France. C'est important d'être là, pour que ce gouvernement voie que les gays polonais ne sont pas seuls.»


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  • serge july a été sommé de démissionné,  ainsi que les 2 directeurs de libération,  car le journal a besoin de 15 millions d'euros que edouard de rothschild ne veut donner que si la tête de july tombe.

    edwy plenel est pressenti et celui-ci dément......

    je rappelle que july est un des fondateurs de libération
    avec jean Paul sartre
    fin d'une époque
    jb
    july qui a amené le loup, se fais dévorer, par le grand capital , qu'en son temps il a critiqué, et qu'il a introduit ensuite par opportunisme dans son journal, ultime insulte a sartre,
    la presse écrite n'a plus aucune légitimité , et elle est toute inféodée au grands capital


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  • Le site Internet de l'hebdomadaire L'Express a annoncé, lundi 12 juin au soir, que Serge July, fondateur et dirigeant de Libération, négocierait les conditions de son départ du quotidien, précisant que "la rumeur courait depuis des semaines dans Paris".

     

    Les journalistes du site de L'Express Renaud Revel et Pierre-Yves Lautrou indiquent que Edouard de Rothschild, actionnaire principal de Libération, aurait décider de se séparer du PDG du journal "après une rencontre, au cours de laquelle les deux hommes se sont violemment opposés". Le remaniement serait important : Louis Dreyfus, directeur général, et Antoine de Gaudemar, directeur de la rédaction, seraient également démis.

    Le site Internet de L'Express précise que les deux hommes s'opposaient sur le financement du quotidien, notamment de ses nombreux suppléments. Edouard de Rothschild serait finalement prêt à donner 10 à 15 millions d'euros pour que le journal tienne cet été, "à une seule condition : le départ de Serge July".

    Toujours selon le site Internet de l'hebdomadaire, Edwy Plenel, ancien directeur de la rédaction du Monde, serait pressenti pour remplacer M. July. celui-ci a démenti, assurant n'avoir "aucun contact, ni officiel ni officieux, avec l'actionnaire ou le personnel de Libération".

     


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  • GCM

    Rencontres
     
    2006  "Midi 20"
       


    C'était sur une grande route, j'marchais là d'puis des jours
    Voire des s'maines ou des mois, j'marchais là d'puis toujours
    Une route pleine de virages, des trajectoires qui dévient
    Un ch'min un peu bizarre, un peu tordu comme la vie
    Evidemment j'étais pas tout seul, j'avais envie d'faire connaissance
    Y'avait un tas d'personnes et personne marchait dans l'même sens
    Alors j'continuais tout droit mais un doute s'est installé
    Je savais pas c'que j'foutais là, encore moins où j'devais aller
    Mais en ch'min au fil du temps j'ai fait des sacrées rencontres
    Des trucs impressionants, faut absolument qu'j'vous raconte
    Ces personnages que j'ai croisé c'est pas vraiment des êtres humains
    Tu peux parler avec eux mais jamais leur serrer la main
    Tout d'abord sur mon parcours j'ai rencontré l'innocence
    Un être doux, très gentil mais qui manque un peu d'expérience
    On a marché un p'tit moment, moins longtemps que c'que j'aurais cru
    J'ai rencontré d'autres éléments et l'innocence a disparue
    Un moment sur mon ch'min, j'ai rencontré le sport
    Un mec physique, un peu grande gueule mais auprès d'qui tu d'viens fort
    Pour des raisons techniques on a du s'quitter c'était dur
    Mais finalement c'est bien comme ça, puis l'sport ça donne des courbatures
    J'ai rencontré la poésie, elle avait un air bien prétentieux
    Elle prétendait qu'avec les mots on pouvait traverser les cieux
    J'lui ai dit j't'ai d'jà croisée et franchement tu vaux pas l'coup
    On m'a parlé d'toi à l'école et t'avais l'air vraiment relou
    Mais la poésie a insisté et m'a rattrapé sous d'autres formes
    J'ai compris qu'elle était cool et qu'on pouvait braver ses normes
    J'lui ai d'mandé tu penses qu'on peux vivre ensemble ? J'crois qu'j'suis accroc
    Elle m'a dit t'inquiêtes le monde appartient à ceux qui rêvent trop
    Puis j'ai rencontré la détresse et franchement elle m'a saoulé
    On a discuté vite fait mais rapidement je l'ai r'foulée
    Elle a plein d'certitudes sous ses grands airs plein d'tension
    Mais vous savez quoi ? La détresse, elle a pas d'conversations
    Un moment sur ma route j'ai rencontré l'amour
    J'lui ai dit tient tu tombes bien, j'veux t'parler d'puis toujours
    Dans l'absolu t'es une bonne idée mais dans les faits c'est un peu nul
    Tu pars en couille une fois sur deux faudrait qu'tu r'travaille ta formule
    L'amour m'a dit écoute petit ça fait des siècles que j'fais mon taff
    Alors tu m'parles sur un autre ton si tu veux pas t'manger des baffes
    Moi j'veux bien être gentille mais faut qu'chacun y mette du sien
    Les humains n'font aucun effort et moi j'suis pas un magicien
    On s'est embrouillé un p'tit moment et c'est là qu'j'me suis rendu compte
    Que l'amour était sympa mais que quand même il s'la raconte
    Puis il m'a dit qu'il d'vait partir, il avait des rendez-vous par centaine
    Que ce soir il d'vait diner chez sa d'mi-soeur : la haine
    Avant d'partir j'ai pas bien compris, il m'a conseillé d'y croire toujours
    Puis s'est éloigné sans s'retourner, c'était mes derniers mots d'amour
    J'suis content d'l'avoir connu, ça j'l'ai bien réalisé
    Et je sais qu'un d'ces quatre on s'ra amené à s'recroiser
    Un peu plu stard sur mon ch'min j'ai rencontré la tendresse
    Ce qui reste de l'amour derrière les barrières que le temps dresse
    Un peu plus tard sur mon ch'min j'ai rencontré la nostalgie
    La fiancée des bons souvenirs qu'on éclaire à la bougie
    Assez tôt sur mon parcours j'avais rencontré l'amitié
    Et jusqu'à c'jour, elle marche toujours à mes côtés
    Avec elle j'ma tape des barres et on connait pas la routine
    Maintenant c'est sûr, l'amitié, c'est vraiment ma meilleure copine
    J'ai rencontré l'avenir mais il est resté très mystérieux
    Il avait la voix déformée et un masque sur les yeux
    Pas moyen d'mieux l'connaitre, il m'a laissé aucune piste
    Je sais pas à quoi il r'semble mais au moins j'sais qu'il existe
    J'ai rencontré quelques peines, j'ai rencontré beaucoup d'joie
    C'est parfois une question d'chance, souvent une histoire de choix
    J'suis pas au bout d'mes surprises, là d'sus y'a aucun doute
    Et tous les jours je continue d'apprendre les codes de ma route

    C'était sur une grande route, j'marchais là d'puis des jours
    Voire des s'maines ou des mois, j'marchais là d'puis toujours
    Une route pleine de virage, des trajectoires qui dévient
    Un ch'min un peu bizarre, un peu tordu, un peu comme la vie.

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